"Le journalisme du 21è siècle est obligatoirement multimédia, et les nouvelles y doivent être désormais proposées, fournies, livrées ou délivrées sur tous supports", a estimé Amadou Coulibaly, à l’ouverture à Abidjan de la 9e réunion du Conseil exécutif de la Fédération atlantique des agences de presse d’Afrique (FAAPA).
"L’intelligence artificielle, en tant qu’outil de transformation majeur, offre des opportunités considérables pour optimiser les processus de production et de diffusion de l’information. Elle permet non seulement d'accélérer le traitement des données et la génération de contenu automatisé, mais également d’analyser les tendances et d’anticiper les besoins en information des publics. ", a indiqué le porte-parole du gouvernement ivoirien, qui n’a cependant pas manqué de relever qu’il est « crucial de l’aborder avec discernement et responsabilité, afin que les agences de presse conservent leur indépendance éditoriale et leur rigueur professionnelle face à cette révolution technologique ».
Pour lui, en s’appropriant ces nouvelles technologies tout en respectant les valeurs fondamentales du journalisme, les agences de presse africaines pourront se positionner comme des acteurs incontournables dans le paysage médiatique mondial.
Car, a souligné M. Coulibaly, « la révolution numérique a encouragé des comportements souvent en contradiction avec les principes éthiques et déontologiques, en créant une nouvelle génération de faiseurs d'opinion, plus axés sur le sensationnalisme ».
La Fédération atlantique des agences de presse africaines est une plateforme professionnelle pour promouvoir l’échange d’expériences, des informations et produits multimédia ainsi que l’échange d’idées et de réflexion sur l’avenir des agences de presse et sur le rôle qu’elles doivent jouer au 21ème siècle dans leurs diversités et leurs spécificités respectives, en tenant compte des profondes mutations qui caractérisent le paysage médiatique dans le contexte de la mondialisation et à l’ère du multimédia.
"L’intelligence artificielle, en tant qu’outil de transformation majeur, offre des opportunités considérables pour optimiser les processus de production et de diffusion de l’information. Elle permet non seulement d'accélérer le traitement des données et la génération de contenu automatisé, mais également d’analyser les tendances et d’anticiper les besoins en information des publics. ", a indiqué le porte-parole du gouvernement ivoirien, qui n’a cependant pas manqué de relever qu’il est « crucial de l’aborder avec discernement et responsabilité, afin que les agences de presse conservent leur indépendance éditoriale et leur rigueur professionnelle face à cette révolution technologique ».
Pour lui, en s’appropriant ces nouvelles technologies tout en respectant les valeurs fondamentales du journalisme, les agences de presse africaines pourront se positionner comme des acteurs incontournables dans le paysage médiatique mondial.
Car, a souligné M. Coulibaly, « la révolution numérique a encouragé des comportements souvent en contradiction avec les principes éthiques et déontologiques, en créant une nouvelle génération de faiseurs d'opinion, plus axés sur le sensationnalisme ».
La Fédération atlantique des agences de presse africaines est une plateforme professionnelle pour promouvoir l’échange d’expériences, des informations et produits multimédia ainsi que l’échange d’idées et de réflexion sur l’avenir des agences de presse et sur le rôle qu’elles doivent jouer au 21ème siècle dans leurs diversités et leurs spécificités respectives, en tenant compte des profondes mutations qui caractérisent le paysage médiatique dans le contexte de la mondialisation et à l’ère du multimédia.
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