Selon le président de l’Ong Ihms, Moïse Koffi N’Dri, sur les estimations de plus de 2500 patients plausibles, seulement 200 sont identifiés dans les registres. Ce qui est très bas par rapport aux chiffres réels.
C’est pourquoi, a-t-il préconisé, « il nous faut donc accélérer la sensibilisation, l’identification, mais aussi augmenter la prise en charge clinique gratuite des patients. La Côte d’Ivoire a fait d’énormes avancées ces dernières années avec une nette amélioration de la prise en charge. Car un tiers des patients est sous traitement prophylactique gratuit, tandis que le traitement sous cutané (injection) qui est un traitement innovant y est disponible. Cependant, beaucoup reste à faire pour atteindre les objectifs mondiaux ».
Présents à cette rencontre, le chef du service hématologie du Chu de Yopougon, Pr Koffi Gustave, et le directeur-coordonnateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques, Dr Adouéni Valéry ont rappelé qu’à l’occasion de cette célébration, il s’agit de faire connaître l’hémophilie et ses symptômes à la population ivoirienne et d'exposer les difficultés d’accès au traitement.
Selon ces deux experts, l’hémophilie est une maladie hémorragique, héréditaire rare, très mortelle et invalidante qui se caractérise par des saignements prolongés voire sans arrêts dus à l’absence de facteur de coagulation VIII ou facteur de coagulation IX. Cette maladie se distingue par deux types, à savoir l’hémophilie A (le plus fréquent) et l’hémophilie B.
En Côte d’Ivoire, la prévalence actuelle est de 210 cas, soit 9%. Les spécialistes sous-estiment ces chiffres parce que dans certaines régions du pays, le taux de prévalence est de 17 voire 20%.
C’est pourquoi, a-t-il préconisé, « il nous faut donc accélérer la sensibilisation, l’identification, mais aussi augmenter la prise en charge clinique gratuite des patients. La Côte d’Ivoire a fait d’énormes avancées ces dernières années avec une nette amélioration de la prise en charge. Car un tiers des patients est sous traitement prophylactique gratuit, tandis que le traitement sous cutané (injection) qui est un traitement innovant y est disponible. Cependant, beaucoup reste à faire pour atteindre les objectifs mondiaux ».
Présents à cette rencontre, le chef du service hématologie du Chu de Yopougon, Pr Koffi Gustave, et le directeur-coordonnateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques, Dr Adouéni Valéry ont rappelé qu’à l’occasion de cette célébration, il s’agit de faire connaître l’hémophilie et ses symptômes à la population ivoirienne et d'exposer les difficultés d’accès au traitement.
Selon ces deux experts, l’hémophilie est une maladie hémorragique, héréditaire rare, très mortelle et invalidante qui se caractérise par des saignements prolongés voire sans arrêts dus à l’absence de facteur de coagulation VIII ou facteur de coagulation IX. Cette maladie se distingue par deux types, à savoir l’hémophilie A (le plus fréquent) et l’hémophilie B.
En Côte d’Ivoire, la prévalence actuelle est de 210 cas, soit 9%. Les spécialistes sous-estiment ces chiffres parce que dans certaines régions du pays, le taux de prévalence est de 17 voire 20%.
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