Du mercredi 7 au jeudi 9 février 2017, une vingtaine de journalistes issus de plusieurs médias en Côte d’Ivoire ont bénéficié d’une formation sur l’apatridie. Initiative du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (Saara) du ministère des Affaires étrangère. Dispensée par Francis Djaha, administrateur national de protection chargé de l’apatridie au Haut-Commissariat des Nations-Unies pour le réfugiés, la formation avait pour but d’enrichir les connaissances des journalistes sur la notion de l’apatridie, ses causes, ses conséquences et les solutions pour l’éradiquer. Durant les deux jours, les participants ont pu comprendre les causes multiples de l’apatridie en Côte d’Ivoire et faire le distinguo entre distinguer la déclaration de naissance et la nationalité d’un individu. Il ressort de cette formation que la non-déclaration des enfants les prédispose à devenir apatrides, s’il ne peuvent pas d=prouver plus tard leur liens de parenté avec un national.
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