La secrétaire exécutive du Cnlvc, Dr Ranie-Didice Bah-Koné, a rappelé l’importance des syndicats et le rôle qu’ils peuvent jouer dans l’atteinte des objectifs assignés à son organisme.
« Les centrales syndicales sont les organes au plus près des populations et ont l’habitude de faire remonter leurs préoccupations grâce à leurs relais sur le terrain et leur force de proposition. Ce sont d’excellents canaux pour véhiculer l’information des populations vers le gouvernement et vice-versa.
Il est donc bon pour le Cnlvc de travailler avec ces centrales, en vue d’arriver à recueillir les préoccupations des populations pour en faire des recommandations auprès du gouvernement », a déclaré Dr Ranie-Didice Bah-Koné à la fin de la réunion avec l’Ugtci.
En effet, on le sait, les syndicats sont au cœur de la démocratie et des processus de gouvernance. Ils sont des acteurs incontournables du dialogue social et du développement national. Les centrales concernées par la démarche du Cnlvc sont l’Ugtci, Dignité, Fesaci et Humanisme, les quatre principales organisations syndicales en Côte d’Ivoire.
La délégation du Cnlvc les a visitées le même jour, en compagnie des membres du Comité d’analyse et de recherche syndicale (Cares), une structure intersyndicale régionale qui a joué le rôle d’intermédiaire.
Ce désir de mutualisation des énergies a été bien accueilli par l’Ugtci. « C’est une très bonne chose de collaborer. Nous espérons que cette initiative se concrétisera par des actions concrètes, allant dans le sens du bien-être durable des populations et du pays », s’est félicité Koffi Assienin, secrétaire général adjoint de l’Ugtci en charge du département juridique.
Kouadio Koffi N’Da, président du Cares Côte d’Ivoire, a rappelé que la lutte contre la vie chère est l’un des principaux axes d’action de sa structure. « Nous allons faire des recommandations aux centrales syndicales pour que dans leurs doléances du 1er mai, elles puissent en faire cas afin de donner un coup de pouce à la lutte contre la vie chère », a-t-il annoncé.
Il est prévu, dans les prochains jours, un atelier de renforcement des capacités avec l’ensemble des centrales syndicales démarchées par le Cnlvc pour sortir des propositions concrètes relativement à ladite lutte.
« Les centrales syndicales sont les organes au plus près des populations et ont l’habitude de faire remonter leurs préoccupations grâce à leurs relais sur le terrain et leur force de proposition. Ce sont d’excellents canaux pour véhiculer l’information des populations vers le gouvernement et vice-versa.
Il est donc bon pour le Cnlvc de travailler avec ces centrales, en vue d’arriver à recueillir les préoccupations des populations pour en faire des recommandations auprès du gouvernement », a déclaré Dr Ranie-Didice Bah-Koné à la fin de la réunion avec l’Ugtci.
En effet, on le sait, les syndicats sont au cœur de la démocratie et des processus de gouvernance. Ils sont des acteurs incontournables du dialogue social et du développement national. Les centrales concernées par la démarche du Cnlvc sont l’Ugtci, Dignité, Fesaci et Humanisme, les quatre principales organisations syndicales en Côte d’Ivoire.
La délégation du Cnlvc les a visitées le même jour, en compagnie des membres du Comité d’analyse et de recherche syndicale (Cares), une structure intersyndicale régionale qui a joué le rôle d’intermédiaire.
Ce désir de mutualisation des énergies a été bien accueilli par l’Ugtci. « C’est une très bonne chose de collaborer. Nous espérons que cette initiative se concrétisera par des actions concrètes, allant dans le sens du bien-être durable des populations et du pays », s’est félicité Koffi Assienin, secrétaire général adjoint de l’Ugtci en charge du département juridique.
Kouadio Koffi N’Da, président du Cares Côte d’Ivoire, a rappelé que la lutte contre la vie chère est l’un des principaux axes d’action de sa structure. « Nous allons faire des recommandations aux centrales syndicales pour que dans leurs doléances du 1er mai, elles puissent en faire cas afin de donner un coup de pouce à la lutte contre la vie chère », a-t-il annoncé.
Il est prévu, dans les prochains jours, un atelier de renforcement des capacités avec l’ensemble des centrales syndicales démarchées par le Cnlvc pour sortir des propositions concrètes relativement à ladite lutte.
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