La célèbre chorégraphe et fondatrice de l’Ecole de danse et d’échanges culturels (EDEC) Marie Rose Guiraud se meurt. Marie Rose Guiraud est très malade.
On la sait malade, très malade d’ailleurs depuis longtemps. Une photo d’elle a fait le tour des réseaux sociaux et a permis de se rendre compte de l’état de santé de Marie Rose Guiraud.
En effet, elle est apparue très amaigrie et tenant un déambulateur pour l’aider à se déplacer. La santé de l’artiste semble bel et bien se dégrader de jour en jour. De fait, à travers un message transmis par la responsable de communication de l’EDEC dont Afriksoir.net a reçu copie en décembre 2019, l’état de santé de Marie Rose Guiraud s’était déjà.
"Le Président Ouattara qu'elle appelle son frère par biais du service social, fait vraiment ce qu'il peut peut. Mais aujourd’hui plus que jamais, maman qui est vraiment très malade, a une seule doléance à l’endroit du président Alassane Ouattara, c’est de le voir. Ainsi maman souhaite avoir un rendez-vous avec son frère».
Rappelant d’ailleurs que Marie Rose Guiraud vivant aux États-Unis, elle était rentrée à la faveur de l’appel lancé par le président de la République à tous les ivoiriens vivant à l’extérieur pour prendre part au train de l’émergence.
«C’est même le président de la République qui a payé leurs billets d’avion, son mari et elle pour qu’ils rentrent à Abidjan. Et, honnêtement, depuis qu’elle est là, chaque fois qu’elle a des problèmes de santé et qu’elle est en clinique, les frais sont pris en charge par la présidence de la République. Par ailleurs en 2018, quand elle a été opérée du cœur, la présidence a tout pris en charge», a expliqué la responsable de communication de l’EDEC.
Danseuse, chorégraphe, actrice, chanteuse, dramaturge, créatrice de costumes, anthropologue, maître de conférence, écrivaine.
Et diplômée du conservatoire Royal de Liège en Belgique de comédie musicale, danses modernes et contemporaine américaine; autant de titre qui font de Marie Rose Guiraud une artiste emblématique en Côte d’Ivoire. Même si son école de danse et d’échanges culturels, se porte aussi mal qu’elle.
Ce centre d’accueil a, en son sein, une centaine de jeunes qui y apprennent l’zrt selon Marie Rose Guiraud.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article