L’édition 2024 de ces journées a débuté, jeudi 4 juillet, à Grand-Bassam, sur le thème : « Médicament et santé ». Durant deux jours (du 4 au 5 juillet), les cadres de la santé que sont, entre autres, les médecins, les pharmaciens, les vétérinaires, vont renforcer leurs capacités sur la problématique « Médicament et santé ».
Ces journées qui constituent un cadre de rencontres scientifiques sont en réalité une formation continue qui permet non seulement de consolider les acquis des praticiens de la médecine, mais aussi de leur permettre d’acquérir de nouvelles connaissances sur les pratiques quotidiennes.
C’est pourquoi, Dr Jean-Jacques Méa, président de la Musaci, est revenu sur l’enjeu de ces journées. « La formation est l’essence de tout succès. En organisant ce séminaire, il s’agit pour la Musaci de contribuer à renforcer les capacités professionnelles des cadres de la santé. Nous voulons, à travers ces journées, mettre à la disposition des populations, des praticiens bien formés et outillés pour répondre au besoin sanitaire des populations », a indiqué Dr Jean-Jacques Méa.
Quant au Dr Kaménan Alexis, président du comité d’organisation des Jocass 2024, il a indiqué que durant ces deux jours de rencontre, des thèmes d’actualité en relation avec la santé, l’entrepreneuriat et la responsabilité des praticiens seront traités.
« Le médicament est le principal élément que nous, professionnels de la santé, utilisons pour guérir la majorité des patients. Cependant, ce médicament a une double facette. Il peut faire du bien à une personne malade, mais aussi, il peut causer du tort à ce dernier. Le médicament se comporte ainsi simplement, parce que c’est un poison et il n’est pas offensif. C’est la dose qui en fait un produit toxique ou non. Savoir utiliser ces médicaments contribue à l’amélioration de la qualité de vie de nos patients et partant de la population en général », a expliqué Dr Kaménan Alexis.
Selon lui, cette rencontre permettra de donner des mécanismes scientifiques aux cadres de la santé. Il a, par ailleurs, souligné que ces deux jours permettront de traiter des sous-thèmes aussi importants que sont, entre autres, la lutte contre la résistance aux antibiotiques : expérience de la Côte d’Ivoire ; pathologies chroniques et maladies bucco-dentaires : cas du diabète et de l’Hta ; adolescents et addiction, point de vue du toxicologue.
Le secrétaire général 1 de la Préfecture de Grand-Bassam, Lago Mathieu et Dr Mockey Édouard, premier adjoint au maire de Grand-Bassam ont salué cette initiative de la Musaci, qui permet d’enrichir les praticiens de la santé au bénéfice des populations. Conférences et communications scientifiques sont, entre autres, les activités au programme de ces Jocass 2024.
Les cadres supérieurs de la santé saluent cette initiative qui, chaque année, aide à améliorer leurs connaissances.
Ces journées qui constituent un cadre de rencontres scientifiques sont en réalité une formation continue qui permet non seulement de consolider les acquis des praticiens de la médecine, mais aussi de leur permettre d’acquérir de nouvelles connaissances sur les pratiques quotidiennes.
C’est pourquoi, Dr Jean-Jacques Méa, président de la Musaci, est revenu sur l’enjeu de ces journées. « La formation est l’essence de tout succès. En organisant ce séminaire, il s’agit pour la Musaci de contribuer à renforcer les capacités professionnelles des cadres de la santé. Nous voulons, à travers ces journées, mettre à la disposition des populations, des praticiens bien formés et outillés pour répondre au besoin sanitaire des populations », a indiqué Dr Jean-Jacques Méa.
Quant au Dr Kaménan Alexis, président du comité d’organisation des Jocass 2024, il a indiqué que durant ces deux jours de rencontre, des thèmes d’actualité en relation avec la santé, l’entrepreneuriat et la responsabilité des praticiens seront traités.
« Le médicament est le principal élément que nous, professionnels de la santé, utilisons pour guérir la majorité des patients. Cependant, ce médicament a une double facette. Il peut faire du bien à une personne malade, mais aussi, il peut causer du tort à ce dernier. Le médicament se comporte ainsi simplement, parce que c’est un poison et il n’est pas offensif. C’est la dose qui en fait un produit toxique ou non. Savoir utiliser ces médicaments contribue à l’amélioration de la qualité de vie de nos patients et partant de la population en général », a expliqué Dr Kaménan Alexis.
Selon lui, cette rencontre permettra de donner des mécanismes scientifiques aux cadres de la santé. Il a, par ailleurs, souligné que ces deux jours permettront de traiter des sous-thèmes aussi importants que sont, entre autres, la lutte contre la résistance aux antibiotiques : expérience de la Côte d’Ivoire ; pathologies chroniques et maladies bucco-dentaires : cas du diabète et de l’Hta ; adolescents et addiction, point de vue du toxicologue.
Le secrétaire général 1 de la Préfecture de Grand-Bassam, Lago Mathieu et Dr Mockey Édouard, premier adjoint au maire de Grand-Bassam ont salué cette initiative de la Musaci, qui permet d’enrichir les praticiens de la santé au bénéfice des populations. Conférences et communications scientifiques sont, entre autres, les activités au programme de ces Jocass 2024.
Les cadres supérieurs de la santé saluent cette initiative qui, chaque année, aide à améliorer leurs connaissances.
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