Du 4 au 7 novembre 2004, l’armée française détruisait l’aéronef de l’armée ivoirienne. Et assassinait des Ivoiriens devant l’hôtel Ivoire, sur le pont de Gaulle et devant le 43e Bima. 12 ans après les faits, en absence de dédommagement, le collectif des parents des victimes de novembre 2004 ont exprimé leur mécontentement. C’était hier, selon le quotidien Le Temps, dans les locaux dudit journal.
« Nous sommes abandonnés et livrés à nous-mêmes. Nos enfants et parents ne sont pas morts en vain. Nous exigeons réparation. Dans le cas contraire, nous allons porter plainte contre la France et son armée. Parce que nous détenons assez de preuves. Tant que nous serons en vie, nous ne jetterons pas l’éponge »
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