Cette formation s’inscrit dans le cadre du projet « Appui à la promotion et à la protection des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire » 2023-2024 et financé par l’Union européenne (Ue). Cet atelier concerne 23 chefs de districts de la police nationale (18 d’Abidjan et 5 de l’intérieur), et 2 représentants des écoles de police d’Abidjan et de Korhogo.
En outre, prendront part à cette formation, un représentant du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ; un représentant du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité ; deux représentants des Organisations de la société civile (Osc) ; six représentants du Cndh et cinq représentants de la direction de la formation du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.
Cette rencontre vise à renforcer les connaissances des chefs de districts et des représentants des écoles de police d’Abidjan et de Korhogo bénéficiaires sur les notions de base en droits de l’Homme ; renforcer leurs connaissances sur les règles et les principes des droits de l’Homme applicables dans les missions de la police nationale.
Il s’agit également d’assurer l’appropriation du « Guide de poche du policier sur les droits de l’Homme » et du « Guide du formateur de la police nationale sur les droits de l’Homme », ainsi que de recueillir les éventuelles observations des participants sur les supports afin de les améliorer avant l’impression des dernières versions.
Le commissaire Coulibaly Aboubacar, représentant le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général de corps d’armée Vagondo Diomandé, a remercié les partenaires techniques et financiers pour leur soutien et au Cndh pour son accompagnement. Aussi a-t-il assuré du soutien du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité en tout temps et en tout lieu.
La présidente du Cndh, Namizata Sangaré, a exprimé sa gratitude au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité pour son accompagnement et pour avoir accepté que ces agents prennent part à cette formation. Selon elle, l’objectif général de cette formation est de renforcer les capacités des chefs de districts et des représentants des écoles de police d’Abidjan et de Korhogo sur les droits de l’Homme afin qu’ils se servent des documents dédiés pour sensibiliser les personnels de la police nationale.
« L’agent de police est au contact de la population, chargé d’assurer la sécurité et la protection des biens et des personnes. Il est aussi l’un des garants de la protection et de l’application de la loi. Cette rencontre est aussi l’occasion pour vous de mieux appréhender les enjeux et défis liés à la police judiciaire et à la police administrative en lien avec les droits de l’Homme, notamment dans le cadre des patrouilles, du maintien de l’ordre, dans les conditions de recours à la force dans les opérations de maintien de l’ordre », a expliqué Namizata Sangaré.
A l’en croire, le Cndh est disposé à renforcer le cadre du dialogue et de formation avec la police nationale.
Le commissaire Coulibaly Aboubacar, représentant le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général de corps d’armée Vagondo Diomandé, a remercié les partenaires techniques et financiers pour leur soutien et au Cndh pour son accompagnement. Aussi a-t-il assuré du soutien du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité en tout temps et en tout lieu.
La présidente du Cndh, Namizata Sangaré, a exprimé sa gratitude au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité pour son accompagnement et pour avoir accepté que ces agents prennent part à cette formation. Selon elle, l’objectif général de cette formation est de renforcer les capacités des chefs de districts et des représentants des écoles de police d’Abidjan et de Korhogo sur les droits de l’Homme afin qu’ils se servent des documents dédiés pour sensibiliser les personnels de la police nationale.
« L’agent de police est au contact de la population, chargé d’assurer la sécurité et la protection des biens et des personnes. Il est aussi l’un des garants de la protection et de l’application de la loi. Cette rencontre est aussi l’occasion pour vous de mieux appréhender les enjeux et défis liés à la police judiciaire et à la police administrative en lien avec les droits de l’Homme, notamment dans le cadre des patrouilles, du maintien de l’ordre, dans les conditions de recours à la force dans les opérations de maintien de l’ordre », a expliqué Namizata Sangaré.
A l’en croire, le Cndh est disposé à renforcer le cadre du dialogue et de formation avec la police nationale.
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