« L’industrie du cajou est aujourd’hui le fer de lance de l’agro-industrie en Côte d’Ivoire. Nous sommes passés de sept unités industrielles en 2018 à plus de 35 en 2024. Cette année, nous avons inauguré deux nouvelles usines dont une à Yamoussoukro et l’autre à Odienné. Et nous avons vu de nombreuses femmes heureuses d’avoir enfin un emploi », affirme Kobenan Kouassi Adjoumani.
Avant d'indiquer que d'autres usines ouvriront bientôt. « Dans quelques jours, nous serons à Boundiali pour ouvrir officiellement une autre usine, et dans quelques semaines l’ouverture d’usines à Korhogo, Bouaké, Abidjan... avec une projection d’une dizaine d’autres encore qui ouvriront leurs portes en 2025, y compris sur les zones agro-industrielles dédiées à la transformation de l’anacarde aménagées à Korhogo, Bondoukou et Séguéla », annonce-t-il.
Pour le ministre d’Etat, l’industrie du cajou est « un segment des plus dynamiques de l’agro-industrie » et qui invite les acteurs, par ricochet l’ensemble des Ivoiriens à relever le défi de la création d’un marché local pour la consommation des produits dérivés du cajou.
Il est bon de rappeler que l’inauguration d’un incubateur pour le développement des produits dérivés de l’ancarde dénommé "Cajou Foodtech" s’est déroulée en présence de Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale, dont l’institution soutient la filière dans le cadre du Projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (Ppca).
Le Ppca a été financé à hauteur 200 millions de dollars Us, soit environ 120 milliards de FCfa.
Avant d'indiquer que d'autres usines ouvriront bientôt. « Dans quelques jours, nous serons à Boundiali pour ouvrir officiellement une autre usine, et dans quelques semaines l’ouverture d’usines à Korhogo, Bouaké, Abidjan... avec une projection d’une dizaine d’autres encore qui ouvriront leurs portes en 2025, y compris sur les zones agro-industrielles dédiées à la transformation de l’anacarde aménagées à Korhogo, Bondoukou et Séguéla », annonce-t-il.
Pour le ministre d’Etat, l’industrie du cajou est « un segment des plus dynamiques de l’agro-industrie » et qui invite les acteurs, par ricochet l’ensemble des Ivoiriens à relever le défi de la création d’un marché local pour la consommation des produits dérivés du cajou.
Il est bon de rappeler que l’inauguration d’un incubateur pour le développement des produits dérivés de l’ancarde dénommé "Cajou Foodtech" s’est déroulée en présence de Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale, dont l’institution soutient la filière dans le cadre du Projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (Ppca).
Le Ppca a été financé à hauteur 200 millions de dollars Us, soit environ 120 milliards de FCfa.
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