Cet engagement a abouti au lancement de la campagne « Carton rouge », le 12 décembre 2023, à Abidjan. Une initiative qui contribue à affirmer le leadership régional de la Côte d’Ivoire sur la thématique. Ainsi, en marge de l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (Can 2023), une grande campagne de signature d’engagements contre ce fléau est en cours et se poursuivra jusqu’à la fin de l’année 2024.
Cette initiative vise à recueillir 2 000 000 de signatures à travers une pétition en ligne et l’installation de dispositifs de signatures physiques dans les lieux de forte affluence (stades et villages Can) pendant la durée de la compétition.
A cet effet, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, en présence de Philippe Poinsot, coordonnateur du système des Nations unies en Côte d’Ivoire; Cécile Compaoré Zoungrana, représentante résidente du Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) en Côte d’Ivoire ; Djibril Diallo, directeur général du Réseau de la renaissance africaine et de la diaspora et Ruth Gbagbi, taekwondo-in ivoirienne, a organisé un petit-déjeuner de presse, le lundi 22 janvier 2024, à son cabinet au Plateau.
Pour la ministre, une telle action, en raison de son intérêt humain et de son enjeu national et international, mérite une large campagne. « Il s’agit d’encourager des initiatives communes sur le plan régional, d'instituer des plateformes supranationales de standardisation des bonnes pratiques, de mobiliser des financements, de structurer les actions de plaidoyer et de favoriser la mobilisation citoyenne pour les besoins de la cause », a-t-elle expliqué.
S’agissant du soutien de l’Unfpa à cette cause noble, selon Cécile Compaoré Zoungrana, en plus de l’appui technique, le Fonds a mobilisé près de 55 millions de FCfa pour accompagner le lancement et la mise en œuvre de l’activité au cours de la Can en Côte d’Ivoire. Philippe Poinsot a, quant à lui, fait savoir que pour l’héritage de la Can, le système des Nations unies en Côte d’Ivoire a accompagné le pays à travers des formations sur l’éthique et les valeurs d'intégrité dans le sport, la formation des bénévoles...
« C’est le moment idéal de mettre en avant les questions de Vbg. Stop à ces violences ! Carton rouge contre ces pratiques qui doivent cesser », a-t-il encouragé.
En tant que double médaillée olympique et championne du monde en taekwondo, Ruth Gbagbi a, pour sa part, partagé une réflexion sur l’importance des arts martiaux dans la sensibilisation, tout en soulignant leur rôle dans le processus de reconstruction des victimes.
Pour elle, cette discipline est également un outil précieux dans la prévention des violences. Car en fournissant des techniques d’auto-défense, elle renforce la confiance en soi et permet aux individus de se sentir plus sûrs dans leur environnement.
Cette initiative vise à recueillir 2 000 000 de signatures à travers une pétition en ligne et l’installation de dispositifs de signatures physiques dans les lieux de forte affluence (stades et villages Can) pendant la durée de la compétition.
A cet effet, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, en présence de Philippe Poinsot, coordonnateur du système des Nations unies en Côte d’Ivoire; Cécile Compaoré Zoungrana, représentante résidente du Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) en Côte d’Ivoire ; Djibril Diallo, directeur général du Réseau de la renaissance africaine et de la diaspora et Ruth Gbagbi, taekwondo-in ivoirienne, a organisé un petit-déjeuner de presse, le lundi 22 janvier 2024, à son cabinet au Plateau.
Pour la ministre, une telle action, en raison de son intérêt humain et de son enjeu national et international, mérite une large campagne. « Il s’agit d’encourager des initiatives communes sur le plan régional, d'instituer des plateformes supranationales de standardisation des bonnes pratiques, de mobiliser des financements, de structurer les actions de plaidoyer et de favoriser la mobilisation citoyenne pour les besoins de la cause », a-t-elle expliqué.
S’agissant du soutien de l’Unfpa à cette cause noble, selon Cécile Compaoré Zoungrana, en plus de l’appui technique, le Fonds a mobilisé près de 55 millions de FCfa pour accompagner le lancement et la mise en œuvre de l’activité au cours de la Can en Côte d’Ivoire. Philippe Poinsot a, quant à lui, fait savoir que pour l’héritage de la Can, le système des Nations unies en Côte d’Ivoire a accompagné le pays à travers des formations sur l’éthique et les valeurs d'intégrité dans le sport, la formation des bénévoles...
« C’est le moment idéal de mettre en avant les questions de Vbg. Stop à ces violences ! Carton rouge contre ces pratiques qui doivent cesser », a-t-il encouragé.
En tant que double médaillée olympique et championne du monde en taekwondo, Ruth Gbagbi a, pour sa part, partagé une réflexion sur l’importance des arts martiaux dans la sensibilisation, tout en soulignant leur rôle dans le processus de reconstruction des victimes.
Pour elle, cette discipline est également un outil précieux dans la prévention des violences. Car en fournissant des techniques d’auto-défense, elle renforce la confiance en soi et permet aux individus de se sentir plus sûrs dans leur environnement.
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