Dans cette note, la Fécafoot a expliqué les circonstances du clash survenu dans ses locaux. Alors que Brys était convoqué pour une séance de travail par Samuel Eto’o, le conseiller technique du ministre des Sports, Cyrille Tollo, s’est présenté sans y être invité. Selon la Fécafoot, l’attitude de Tollo a mis le feu aux poudres, entraînant l’explosion de colère d’Eto’o.
« Des comportements inacceptables ont empêché la tenue des travaux prévus ce jour, notamment l’attitude du Conseiller Technique N°2 du Ministère des Sports et de l’Éducation Physique, qui, non convié aux travaux, a exigé du Président de la Fédération la communication de l’ordre du jour de la réunion, instruction qu’il aurait reçue du Ministre des Sports, faute de quoi aucune réunion ne pourrait se tenir. Le Président de la Fécafoot, après avoir rappelé fermement à Monsieur Tollo qu’il n’était pas convié à ladite réunion, le Conseiller Technique N°2 du MINSEP a instruit à Monsieur Brys et ses assistants de quitter la salle », peut-on lire dans le communiqué.
Marc Brys accusé d’insultes
Selon la Fécafoot, Marc Brys aurait aggravé la situation en lançant des insultes à l’encontre de Samuel Eto’o. La nature exacte de ces insultes n’est pas précisée, mais la Fécafoot mentionne une ironie de Brys félicitant Eto’o sur sa carrière de “très grand joueur” ainsi que des invectives plus graves non filmées.
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« Le Président de la Fécafoot a par la suite rappelé à Monsieur l’Entraîneur-Sélectionneur que son employeur utilisateur est la Fécafoot et qu’il assumerait les conséquences liées à ses manquements. Monsieur Brys, avant de quitter la salle, s’est lancé dans des insultes et invectives à l’endroit de Monsieur Eto’o Fils, Président de la Fécafoot, en lui rappelant que c’est lui l’Entraîneur-Sélectionneur et que ‘c’est lui qui décide’ », relate le communiqué.
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