Samedi, le sélectionneur de la Tunisie, Henri Kasperczak, a décidé de sortir Wahbi Khazri à l’heure de jeu du quart de finale de la CAN 2017 face au Burkina Faso (0-2). Ce choix n’a pas été du goût du joueur de Sunderland qui a bougonné et refusé de serrer la main de son coach en regagnant le banc. Mais le technicien franco-polonais a tenté de minimiser l’incident en conférence de presse d’après-match.
"Un joueur sort, parfois il est énervé, ça arrive partout. Je suis déçu comme tous les joueurs de cette élimination, que nous pouvions peut-être éviter", a affirmé l’ancien sélectionneur du Mali. "Le Burkina a mieux mérité, il a gagné. L’équipe tunisienne n’a pas démontré ses qualités, on n’a pas retrouvé cette rage de vaincre. On était un peu fatigué." Comme en 2015, les Aigles de Carthage s’arrêtent en quart de finale.
Avec Afrik-foot
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