Des embrassades, des accolades, des pleurs, des pas de danse... il y en avait un peu de tout dans cette liesse populaire. L’on a pu voir également la quasi-totalité des drapeaux des pays participants, bien que le pays hôte se soit adjugé le trophée.
Moudji Atiladé est nigérian. Mais il est au cœur de la fête. « Je gagne ou je gagne », lance-t-il à l’endroit de tous ceux qui viennent à sa rencontre.
Juchés sur le toit d’une berline, Moustapha Abdel Rahman, un Marocain, brandit le drapeau de son pays. Il souhaite que « les Éléphants aient un parcours aussi extraordinaire au Maroc en 2025 ».
Au Carrefour Azur, un groupe de personnes scandent l’acronyme Ado – des noms et prénoms du Président de la République, Alassane Ouattara.
Réunis entre Ivoiriens, Maliens et Burkinabé notamment, ces supporters expriment leurs « félicitations au Chef de l’État pour avoir réuni les conditions de la plus belle des Can et de la troisième étoile que les Eléphants porteront fièrement sur leur maillot ».
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