Le groupe russe de pirates informatiques Fancy Bears a revendiqué la cyberattaque contre l'Agence mondiale antidopage et a publié des données confidentielles concernant plusieurs sportives américaines célèbres. Prednisone, prednisolone, méthylprednisolone, hydromorphone et oxycodone.
Tel est le cocktaïl de substances interdites par l'Agence mondiale antidopage (AMA) que la star américaine du tennis Serena Williams aurait pris entre 2010 et 2015 d'après des documents publiés en ligne, mardi 13 septembre, par le groupe russe de pirates informatiques Fancy Bear. Sa sœur Venus aurait également eu recours a plusieurs produits considérés comme des dopants interdits, tout comme la jeune prodige américaine de la gymnastique Simones Biles. La star américaine du baskettball Elena Dell Donne est également mise en cause.
Ces quatre cas ne seraient que "la partie émergée de l'iceberg" ont assuré les cybercriminels sur leur site Internet en promettant d'autres révélations.
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