Elle a réagi par la voix de Claude Zito, son Directeur Exécutif Adjoint. La FIF ne reconnait qu’un seul groupement d’intérêt. Celui ayant accordé son parrainage à Sory Diabaté et non à Didier Drogba.
Est-elle juge et partie à la fois, ou tente-t-elle simplement de faire appliquer les textes ?
La Fédération Ivoirienne de Football (FIF) a réagi à la suite de l’Assemblée générale de l’Association des arbitres du 20 juillet dernier.
L’instance dit ne pas reconnaître le bureau qui a attribué son parrainage à Didier Drogba, dans la course à la succession de Sidy Diallo.
« La Fédération Ivoirienne de Football (FIF) rappelle à toutes fins utiles que le 12 mai 2018, l’ensemble des Arbitres réunis en Assemblée Générale a porté leur choix sur Monsieur COULIBALY SOULEYMANE pour un mandat de quatre (04) ans, soit jusqu’en mai 2022, conformément à l’article 13-3 des Statuts de l’AMAFCI ; Qu’à cette Assemblée Générale Élective du 12 mai 2018, Monsieur DANON Roland a participé et émargé au numéro 180 de la feuille de présence validée par Maître KOUAME Jean, Commissaire de Justice ; Qu’au regard de tout ce qui précède et en conformité avec les textes fédéraux en vigueur, la Fédération Ivoirienne de Football ne reconnaît qu’un seul Groupement d’intérêt par corporation, et singulièrement pour l’AMAFCI, dirigé par monsieur COULIBALY SOULEYMANE, dont l’élection a été validée par la FIF » fait savoir le communiqué lu par Claude Zito.
En d’autres termes, la FIF remet en cause le document du parrainage issu de la deuxième Assemblée générale de l’association des arbitres de Côte d’Ivoire.
La Commission électorale dirigée par l’ancien ministre des sports René Diby, est aussi attendue sur la question.
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