La qualification pour le deuxième tour se jouera dimanche prochain contre l’Ouganda
Déception, regret ou gâchis, difficile de trouver un mot juste pour qualifier l’expression sur les visages des joueurs et des Ivoiriens présents le mercredi 18 janvier 2023, dans l’enceinte du stade du 19 mai 1956 d’Annaba après le match. Les Éléphants se sont mis simplement dans une situation très complexe en vue de la qualification pour le deuxième tour du Chan 2023.
Désormais, il n’y a plus de calcul à faire. Ce sera une victoire ou rien contre l’Ouganda, le dimanche prochain, pour espérer aller en quart de finale.
Pourtant,, contre la Rd Congo, il y avait beaucoup de possibilités pour les joueurs d’Haidara Soualiho de prendre une belle option. Les Éléphants ont tout donné dans la rencontre. Malheureusement et malgré les changements apportés par l’entraîneur, c’est ce qu’on redoutait le plus dans l’équipe qui s’est produit : l’inefficacité offensive de l’équipe.
L’équipe s’est créé un nombre incalculable d’occasions de buts. Sans pouvoir transformer une seule. Wayou Constant, Sylla Mohamed, Ouotro Patrick et Mohamed Zougrana ont eu, à chaque fois, le pied carré dans le geste final. « Si c’était une autre équipe, la Rd Congo aurait pris quatre buts dans cette rencontre », a avoué un confrère congolais.
Malheureusement, c’était bien sûr la Côte d’Ivoire avec le même problème récurrent en attaque. Identique tableau en seconde période où malgré la tentative de réveil des Léopards et surtout la fatigue accusée par Aka Essis, Attohoula, Mohamed Sylla et autres, la Côte d’Ivoire est restée maître du jeu.
La défense ivoirienne, quelque fois fébrile sur les montées offensives de l’adversaire, a tout de même tenu le coup. La rentrée de Sankara Karamoko à la place d’Ouotro Patrick aurait peut-être donné un résultat meilleur si cela avait été fait un peu plutôt.
La rapidité et la qualité technique du joueur de l’Asec ont failli payer à 5 minutes de la fin mais sa frappe après un bel enchaînement a été stoppé par le portier congolais. Un résultat nul qui complique, certes, les affaires des Éléphants, en revanche tout reste encore possible contre l’Ouganda, le dimanche 22 janvier prochain, au stade Nelson Mandela d’Alger.
Désormais, il n’y a plus de calcul à faire. Ce sera une victoire ou rien contre l’Ouganda, le dimanche prochain, pour espérer aller en quart de finale.
Pourtant,, contre la Rd Congo, il y avait beaucoup de possibilités pour les joueurs d’Haidara Soualiho de prendre une belle option. Les Éléphants ont tout donné dans la rencontre. Malheureusement et malgré les changements apportés par l’entraîneur, c’est ce qu’on redoutait le plus dans l’équipe qui s’est produit : l’inefficacité offensive de l’équipe.
L’équipe s’est créé un nombre incalculable d’occasions de buts. Sans pouvoir transformer une seule. Wayou Constant, Sylla Mohamed, Ouotro Patrick et Mohamed Zougrana ont eu, à chaque fois, le pied carré dans le geste final. « Si c’était une autre équipe, la Rd Congo aurait pris quatre buts dans cette rencontre », a avoué un confrère congolais.
Malheureusement, c’était bien sûr la Côte d’Ivoire avec le même problème récurrent en attaque. Identique tableau en seconde période où malgré la tentative de réveil des Léopards et surtout la fatigue accusée par Aka Essis, Attohoula, Mohamed Sylla et autres, la Côte d’Ivoire est restée maître du jeu.
La défense ivoirienne, quelque fois fébrile sur les montées offensives de l’adversaire, a tout de même tenu le coup. La rentrée de Sankara Karamoko à la place d’Ouotro Patrick aurait peut-être donné un résultat meilleur si cela avait été fait un peu plutôt.
La rapidité et la qualité technique du joueur de l’Asec ont failli payer à 5 minutes de la fin mais sa frappe après un bel enchaînement a été stoppé par le portier congolais. Un résultat nul qui complique, certes, les affaires des Éléphants, en revanche tout reste encore possible contre l’Ouganda, le dimanche 22 janvier prochain, au stade Nelson Mandela d’Alger.
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