L’enquête, confiée au Pôle national de lutte contre la haine en ligne, porte sur des accusations de « cyberharcèlement en raison du genre, injure publique en raison du genre, provocation publique à la discrimination et injure publique en raison de l’origine ». Le dossier est pris en charge par l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine.
L’avocat d’Imane Khelif, Maître Nabil Boudi, a révélé que plusieurs personnalités publiques de renommée internationale sont explicitement citées dans la plainte. Parmi elles, Elon Musk, propriétaire du réseau social X (anciennement Twitter), et la romancière britannique J.K. Rowling.
Malgré la campagne de haine en ligne, Imane Khelif a pu compter sur un soutien indéfectible de son pays natal, l’Algérie. L’accueil réservé à la délégation algérienne à son retour de Paris a été triomphal, avec des scènes de liesse populaire malgré une chaleur accablante.
La gymnaste Kaylia Nemour, ainsi que les autres médaillés algériens, ont été célébrés en héros, un accueil rehaussé par la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports algérien.
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