Après la victoire du Brésil face au Pérou, plusieurs joueurs de Paris, Manchester City et Liverpool? ont rapidement pu rejoindre l'Europe en jet privé.
Quand les dirigeants d'un club en ont les moyens, rien n'est trop beau pour leurs joueurs. Et alors que ces deux semaines de trêve internationale touchent à leur fin, quoi de plus normal que de vouloir retrouver au plus vite son effectif au complet afin de préparer au mieux le match de championnat à venir.
Un tâche plus difficile à réaliser lorsque plusieurs membres de l'équipe évoluent dans de lointaines sélections, comme en Amérique du Sud par exemple. C'est notamment le cas pour le Paris Saint-Germain, Manchester City ou encore Liverpool. Pour le quadruple champion de France en tire et les deux pensionnaires de Premier League, qui comptent de nombreux éléments auriverdes dans leurs troupes, la question était de savoir comment rapatrier tout ce beau monde le plus efficacement possible, le tout à moindre coût.
Une douloureuse à 140 000 euros
Quoi de plus naturel dans ce cas que de louer et privatiser un jet privé ! Selon le Daily Mail, l'addition pour s'offrir un tel vol avoisinerait tout de même les 140 000 euros. C'est donc le plus logiquement du monde que les directions des trois écuries se sont mises d'accord pour faire pot commun, afin de se diviser la note.
Grâce à cette entente, Marquinhos et Thiago SIlva (PSG), Coutinho et Firmino (Liverpool) ou encore Fernandinho (Manchester) ont ainsi pu tous décoller quelques heures seulement après le succès de la Seleçao en terre péruvienne (2-0), en marge d'une rencontre comptant pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018.
Chelsea refuse de payer
Une initiative dont Jürgen Klopp serait à l'origine, toujours d'après le média britannique. Cette proposition, également faite à Chelsea par le technicien des Reds, aurait été refusée par le club londonien, qui l'a jugée trop onéreuse. En effet, les Blues ne jouent que dimanche après-midi face à Middlesbrough.
Un délai qui a donc forcé David Luiz et Willan à prendre des vols commerciaux réguliers, et une escale au Brésil, soit environ 1000 miles de plus que leurs compatriotes passés en l'air. Un peu "trop de vols", pour l'ancien Parisien. Reste à savoir si pour les autres la méthode portera ses fruits ce week-end.
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