Selon ce rapport validé, le jeudi 21 novembre 2024, par le Ministre d'État, ministre de l'Agriculture et de la Sécurité Alimentaire, Grégoire Mutshail Mutomb, les conflits persistants dans l'est du pays, des déplacements massifs et le changement climatique, sont les principales raisons de cette sécurité alimentaire.
Pour l’occasion, le ministre Mutomb s’est réjoui du travail accompli par le Programme alimentaire mondial (PAM), l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) dans la réalisation de ce rapport, réaffirmant l'engagement du gouvernement congolais à inverser cette tendance.
"Je pense que tous les partenaires vont se mobiliser. Nous ne pouvons pas nous arrêter aux résultats. Il est impératif de travailler pour trouver des solutions durables. Donnons au gouvernement le temps de mettre en œuvre des actions concrètes pour que, d'ici deux ans, nous puissions évaluer des progrès significatifs", a indiqué Grégoire Mutshail Mutomb.
Pour sa part, Bruno Lemarquis, Représentant spécial adjoint du SG de l'ONU en RDC, a réaffirmé l'engagement des Nations Unies à accompagner le gouvernement dans cette lutte.
"Le système des Nations Unies reste mobilisé à travers la FAO, le PAM et le FIDA, notamment par l'élaboration d'une feuille de route nationale axée sur la relance de l'agriculture et le renforcement des infrastructures. Mais cela nécessite aussi un engagement collectif des partenaires techniques et financiers, de la société civile, des ONG et du secteur privé", a-t-il soutenu.
Pour l’occasion, le ministre Mutomb s’est réjoui du travail accompli par le Programme alimentaire mondial (PAM), l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) dans la réalisation de ce rapport, réaffirmant l'engagement du gouvernement congolais à inverser cette tendance.
"Je pense que tous les partenaires vont se mobiliser. Nous ne pouvons pas nous arrêter aux résultats. Il est impératif de travailler pour trouver des solutions durables. Donnons au gouvernement le temps de mettre en œuvre des actions concrètes pour que, d'ici deux ans, nous puissions évaluer des progrès significatifs", a indiqué Grégoire Mutshail Mutomb.
Pour sa part, Bruno Lemarquis, Représentant spécial adjoint du SG de l'ONU en RDC, a réaffirmé l'engagement des Nations Unies à accompagner le gouvernement dans cette lutte.
"Le système des Nations Unies reste mobilisé à travers la FAO, le PAM et le FIDA, notamment par l'élaboration d'une feuille de route nationale axée sur la relance de l'agriculture et le renforcement des infrastructures. Mais cela nécessite aussi un engagement collectif des partenaires techniques et financiers, de la société civile, des ONG et du secteur privé", a-t-il soutenu.
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