« Le président attend de nous que nous soyons des promoteurs de la fraternité », a déclaré à l'AFP Christian Krieger, le président de la fédération protestante, suite à la cérémonie à l'Elysée.
Une fraternité « par l’exemple » et le dialogue entre les religions. D'après certains participants, le président a évoqué en exemple la visite discrète des divers responsables religieux dans un établissement éducatif de Seine-Saint-Denis le 9 décembre dernier, loin des objectifs de caméra.
« Dans des moments aussi éprouvants, il est essentiel que les chefs religieux puissent s'exprimer et avoir un rôle », a déclaré Chems-eddine Hafiz, recteur de la Grande mosquée de Paris.
Au cours de cette allocution de 45 minutes, en présence du Premier ministre François Bayrou et du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, le président a également évoqué le centenaire de la loi de 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État, plaidant pour « une pédagogie de la laïcité ».
« L'objectif est d'expliquer pour que tous comprennent la laïcité française », déclare Eric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, marqué par « le ton sérieux du président » et son « impression d'un besoin d'unité ».
Antony Boussemart, porte-parole des bouddhistes de France, a souligné « combien la laïcité n'est pas une idée qui exclut, mais un domaine d'interaction et de communion », citant Emmanuel Macron.
Au cours de cette allocution de 45 minutes, en présence du Premier ministre François Bayrou et du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, le président a également évoqué le centenaire de la loi de 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État, plaidant pour « une pédagogie de la laïcité ».
« L'objectif est d'expliquer pour que tous comprennent la laïcité française », déclare Eric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, marqué par « le ton sérieux du président » et son « impression d'un besoin d'unité ».
Antony Boussemart, porte-parole des bouddhistes de France, a souligné « combien la laïcité n'est pas une idée qui exclut, mais un domaine d'interaction et de communion », citant Emmanuel Macron.
D'après les intervenants, le président a également mentionné la possibilité de relancer le projet de loi sur la fin de vie, se déclarant disposé à rencontrer une fois de plus les dirigeants religieux.
« Selon Haïm Korsia, le grand rabbin de France, il nous a exhorté à opter pour le moindre mal », selon ses propos.
En ce qui concerne la bataille contre l'antisémitisme, « le président a affirmé que cette question +possède une portée européenne et nous aurons l'occasion de le rappeler à Auschwitz+ le 27 janvier », lors de la commémoration du 80e anniversaire de la libération du camp d'extermination, a complété M. Korsia.
Pour conclure, plusieurs participants ont rapporté que le président a mis l'accent sur la nécessité d'intensifier la communication entre l'État et les musulmans.
Selon Chems-eddine Hafiz, il s'agit d'« offrir aux citoyens musulmans un sentiment d'appartenance totale à la Nation ».
« Selon Haïm Korsia, le grand rabbin de France, il nous a exhorté à opter pour le moindre mal », selon ses propos.
En ce qui concerne la bataille contre l'antisémitisme, « le président a affirmé que cette question +possède une portée européenne et nous aurons l'occasion de le rappeler à Auschwitz+ le 27 janvier », lors de la commémoration du 80e anniversaire de la libération du camp d'extermination, a complété M. Korsia.
Pour conclure, plusieurs participants ont rapporté que le président a mis l'accent sur la nécessité d'intensifier la communication entre l'État et les musulmans.
Selon Chems-eddine Hafiz, il s'agit d'« offrir aux citoyens musulmans un sentiment d'appartenance totale à la Nation ».
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