A deux mois des élections législatives du Mali, lesquelles élections sont
appelés à prendre part les Maliens de la diaspora en vu de se faire représenter
à l’hémicycle une première dans l’histoire du Mali, des inquiétudes planent du
côté de certains représentants des partis politiques Maliennes en côte d’ ivoire
à en croire le secrétaire général de l’Alliance démocratique pour la paix au Mali
( ADP –Maliba ) ‘’Alassane Bah ‘’ pour qui son candidat Aliou Boubacar Diallo
aurait perdu des voies lors de la présidentielle Malienne de 2018, arguant que
nombreux étaient ses militants dépourvus de documents administratives parce
que n’ayant pas être enrôlés à raison de la courte durée de l’opération
d’enrôlement.
Avant l’avènement des cartes ‘’NINA ‘’ document issu de ladite opération
d’enrôlement dit –il , ‘’ il y ‘avait plus de 2 millions d’électeurs Maliens en Côte
d’ Ivoire et maintenant que cette carte biométrique est venue dans des
circonstances que tout les Maliens connaissent , il ya moins (200.000 ( deux
cent milles électeurs en Côte d’ Ivoire ‘’ d’où son appel aux autorités
diplomatique de mettre tout en œuvre pour que l’ensemble des Maliens vivant
sur le sol Ivoirien soient enrôlés en vue de participer aux élections futur et de
surtout pouvoir résoudre leurs besoins quotidiens liés à la documentation.
Pour
ce faire,’’ Je préconise un démarrage d’une véritable opération d’enrôlement
des Maliens de Côte d’ivoire. D’ajouter que du 26 au 28 Juin 2019, le premier
Ministre Boubou Cissé lors de son séjour à Abidjan dans le cadre d’une visite
d’amitié et de travail, a profité de l’occasion pour rencontrer ses compatriotes
à l’Ambassade du Mali d’ Abidjan ou il a annoncé la mise à leur disposition des
cartes biométriques dans un court délai , cette déclaration public nous avait
donné un ouf de soulagement mais à notre grande surprise rien n’est fait à
présent sachant pertinemment que les Maliens établis en côte d’ivoire sont
exposés à un problème de pièce d’identité.
S’agissant de l’accord politique de gouvernance que l’Adp –Maliba a signé,
cette décision relève d’une cohérence de ladite famille politique vis-à-vis
d’elle-même a relevé le premier responsable dudit parti en Côte d’ Ivoire. «
C’est parce que cette formation politique est cohérente avec elle-même que le
22 septembre 2018 son président d’honneur Aliou Diallo, au vu de la situation
socio politique que vie le Mali a appelé ses compatriotes à un dialogue inclusif
et c’est ce qui vient d’être fait, donc le temps lui a donné raison parce que le
pays en avait besoin. Il faut noter qu’à l’issu des précédents gouvernements
qui ce sont succédés sous ses deux mandats , le président de la république son
excellence Ibrahim Boubacar Keita a eu enfin la sagesse d’appeler les Maliens à
se plancher sur la situation préoccupante du pays , alors ‘’ j’estime que cette
initiative qui vise à recherche un consensus pour la gouvernance du pays est
salutaire ‘’ , c’est pourquoi mon parti a accepté de participer à tout les
processus à savoir le dialogue national inclusif et la signature de l’accord
politique pour dire que nous somme désormais disposés à aider les
gouvernants à la mise en œuvre des conclusions issus de ce dialogue dont les
recommandations inscrites dans le rapport final rendu public et à la rédaction
duquel les délégués de l’ Adp – Maliba ont pleinement contribués .
Pour monsieur Bah, sa formation politique bien que jeune parti arrivé 3 ème par
‘’la force des choses’’ selon lui, se porte bien d’autant que des nouvelles
adhésions sont toujours enregistrés et un bureau est ouvert à l’immeuble du
Mali au Plateau ou les militants peuvent se rendre pour des questions relatives
à ladite famille politique .Bientôt dit –il , un nouveau bureau exécutif pour la
section de Côte d’Ivoire sera formé suivra une assemblée générale qu’il va
présidé .
Pour terminer Alassane Bah a exhorté ses militants à rester fidèle au parti, de
rester mobiliser, de s’entendre et de soutenir le gouvernement IBK afin de le
permettre la mise en œuvre des différentes résolutions de l’accord politique
l’une des conditions pour sauver le Mali.
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