Tunis s’engage, sans toutefois avancer de date, à ne plus imposer le test anal aux personnes poursuivies pour homosexualité. Un petit pas sur le long chemin de la dépénalisation. «Le test anal pourra être demandé par un juge mais la personne sera en droit de le refuser.» Cette précision du ministre des Droits de l’homme intervient après l’engagement pris ces derniers jours auprès de l’ONU par le gouvernement tunisien de cesser ces examens médicaux en cas d’accusation d’homosexualité. Les Nations unies considèrent depuis 2014 ce type de tests médicaux comme un acte de torture, punissable.
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