En plus de se soucier du bien-être des Ivoiriens en leur offrant de la boisson 100% naturelle, Atou, propriétaire de la marque Ivorio, contribue largement au développement agricole et par ricochet celui du pays.
« Dans les années 80, la Côte d’Ivoire exportait 80% de sa production d’ananas et seulement 20% était réservé à la consommation locale. Mais avec le développement de la culture d’ananas de façon exponentielle en Amérique du sud, au Costa-Rica par exemple, ce fut le branle-bas chez les producteurs ivoiriens. Aujourd’hui avec Ivorio, 90% de la production d’ananas est transformée sur place et réservée à la consommation directe », a expliqué le Directeur général Coulibaly Théodore. Ce qui a permis « ces quatre dernières années, de distribuer un peu plus de deux milliards aux producteurs ».
En outre, Atou est une grande pourvoyeuse d’emploi jeune. « Notre politique d’emploi est tournée vers les compétences locales, notamment les jeunes. A titre d’exemple, nous avons choisi des jeunes ingénieurs pour la conception de nos équipements », soutient-il.
Atou qui se veut une entreprise citoyenne, encourage également l’entreprenariat jeune à travers un partenariat avec une startup opérant dans le domaine du traitement des déchets. « Des jeunes ont créé une startup du nom de Green Country qui est spécialisé dans le traitement des déchets domestiques. Nous allons travailler avec eux afin de transformer les restes de nos fruits en engrais à base de compost pour nos culture », a indiqué M. Coulibaly.
L’objectif, à en croire le DG d’Atou, est de parvenir à terme, à la commercialisation de produits bio.
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