Cette année, dira-t-il, « la Côte d’Ivoire passe du troisième rang (africain) au second rang derrière l’Éthiopie qui est un exemple en matière de consommation locale » avec « à peu près 60% » de leur production locale consommée.
Le SICAFE qui se positionne comme un salon de référence en matière de cafe-culture se veut un rendez-vous des acteurs de la filière avec pour mission de créer «une plate-forme d’échanges sur le café dans un environnement qui favorise le partenariat public-privé et privé-privé».
Il vise à réunir tous les acteurs de la chaîne de valeur du café, des plantations à la tasse pour débattre des questions relatives au secteur, tout en faisant découvrir le monde du café de la plantation à la consommation et le processus de la torréfaction, a fait savoir M. Kessé.
Le secrétaire général de ce salon, Dié Kakou, a indiqué qu’il y aura 30 stands d’exposition, divisés en trois pôles : le premier dédié à l’institutionnel et à l’international, le 2è pôle dénommé le stand consommation dédié aux entreprises industrielles est aux produits finis, tandis que le troisième, le pôle production est consacré aux coopératives agricoles et aux entreprises de négoce.
Quelque 6 000 visiteurs sont attendus durant ces trois jours. Il est prévu en outre dix ateliers de conférences qui devraient permettre, entre autres, le renforcement des capacités des organisations des producteurs et leur accès aux financements.
Le SICAFE aura un stand au Salon de l’agriculture de Paris 2020 du 22 février au 1er mars, une plate-forme regroupant 650 entreprises partenaires exposants en vue de donner une visibilité à ce salon, a souligné M. Dié Kakou.
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