Je suis Maryline épouse M, mariée à Yvan. M, nous vivions avec ma petite famille de 5 personnes à Rome avant de venir à Abidjan, mon mari étant diplomate.
Je suis ivoirematin et j’ai voulu partager mon expérience avec tous les internautes afin d’une part d’attirer leur attention et d’autre part, m’enrichir de leurs conseils.
Obligation de faire appel à des ‘’aides’’
Quand nous venions en Côte d’Ivoire j’attendais une petite fille, j’étais à 7 mois de grossesse et malheureusement, il y avait quelques complications. Moi qui aimais m’occuper personnellement de ma famille étais obligée de faire appel à des aides.
Nous avons donc engagés une femme de ménage, une nounou pour mes deux premiers enfants et un cuisinier. Tout allait bien à la maison et quelques mois plus tard j’ai accouché.
Femme indépendante, cinq mois après j’ai décidé de m’investir dans des activités tant lucratives que sociales. Milène (ma dernière fille) restait donc à la maison avec le cuisinier et la nounou. Yvan n’y voyait aucun inconvénient tant nous avions confiance en eux.
Ne dit-on pas que la confiance n’exclut pas le contrôle ?
La nounou se plaignait du cuisinier
La nounou de mes ‘’anges’’ se plaignait très souvent du cuisinier. Selon elle, il l’envoyait faire des courses qui ne lui incombait pas à des heures assez précises. Je lui demandais toujours de ne pas faire d’histoire, qu’on allait régler cette histoire mais je reportais toujours l’échéance.
Milène avait eu 9 mois, que le temps passe vite, j’étais sortie pour lui acheter de nouveaux jouets quand la nounou m’appela en pleure. « Madame rentre vite, il y a quelques choses à la maison ici » me dit-elle.
Le cuisinier qui se confond en excuses
Inquiète, je me dépêchai de rentrer. Je trouvai la nounou toujours en pleure avec ma fille dans ses bras, le cuisinier l’ère honteux et ma fille brulante de fièvre. Je demandai ce qu’il y avait et là, la nounou me raconta ce qu’elle avait vu. Selon elle, le cuisinier l’aurait envoyé à la superette et lorsqu’elle partait, elle s’est rendu compte qu’elle avait oublié son téléphone portable. Elle était donc revenue sur ses pas et avait surpris le cuisinier la main dans la couche de ma fille.
Il ne put dire mot face à cette gravissime accusation. Il se confondait juste en excuses.
Mon mari a saisi la justice
J’ai immédiatement appelé Yvan qui a tout de suite saisi la police et l’indélicat a été mis aux arrêts. Mais après, on a reçu de nombreux parents, nous demandant pardon pour qu’on le libère. Yvan a catégoriquement refusé mais moi, touchée par les pleures de sa femme, voulais qu’on lui donne une seconde chance en retirant la plainte.
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