Appréhendé et conduit manu militari au poste de Police de la ville de Grand-Bassam, il va reconnaître les faits sans difficultés.
Cependant, devant le tribunal de la section de la cité balnéaire qui le jugeait récemment, il est revenu sur son propos. « Je ne reconnais pas les faits de vol de climatiseur, M. le juge », s’est-il défendu.
A la question de savoir pourquoi il a reconnu les faits devant ceux qui l’ont appréhendé ainsi qu’à la Police ? Il s'est justifié en ces termes : « Si je ne disais pas que c’était moi, les jeunes du quartier allaient me lyncher. A la police, je n’ai pas été interrogé. J’ai reconnu parce que les agents ont mis un chien sur moi ».
Cependant, il reconnaît sa signature lorsque le procureur lui montre le procès-verbal. Celui-ci à travers une série de questions va montrer les incohérences dans les propos de K. Agenor.
Poursuivi pour vol portant sur climatiseur, K. Agenor est reconnu coupable. Ce fait est puni par les articles 457,458 et 462 du code pénal ivoirien. En répression, il a été condamné à 3 mois de prison ferme.
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