L’un des kamikazes des attaques du 13 novembre aurait pu faire croire qu’il était mort en Syrie pour mieux échapper à la vigilance des services de renseignements.
L’hypothèse avait déjà été évoquée quelques jours après les attaques à Paris et à Saint-Denis. Elle est rde nouveau évoquée ce vendredi 24 mars, après que le journal Libération a pu consulter des notes déclassifiées de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Ces notes, qui traitent essentiellement de la vie des assaillants, révèlent que Foued Mohamed-Aggad aurait mis en place une stratégie de dissimulation.
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