Le site WikiLeaks a affirmé, jeudi 4 avril, que son fondateur, le journaliste australien Julian Assange, pourrait être expulsé « dans les prochaines heures ou les prochains jours » de l’ambassade de l’Équateur à Londres où il est réfugié depuis 2012. Le gouvernement équatorien a parlé de « rumeurs » et refuse de réagir.
Avec notre correspondant à Quito, Éric Samson
C’est un tweet de l’organisation WikiLeaks qui a lancé la machine aux rumeurs à Quito. Parlant d’une source « haut placée dans l’Étatéquatorien », WikiLeaks affirme que le régime du président Lenin Moreno a déjà un accord avec le Royaume-Uni pour que Julian Assange soit arrêté dès son expulsion des locaux de l’ambassade.
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