Le ministre des Transports a évoqué avec les journalistes de Bouaké leurs conditions de vie et de travail.
A l’initiative du ministre des Transports, Amadou Koné, une trentaine de journalistes de Bouaké ont échangé avec lui le dimanche 24 juillet 2022, en sa résidence au quartier Kennedy. Cette rencontre avait pour objectif d’évoquer avec ses hôtes leurs conditions de vie et de travail. Avec l’espoir que le ministre prenne en compte certaines de leurs préoccupations.
Prenant la parole au nom de ses confrères, Ladji Abou Sanogo, président de l’Union nationale des journalistes et correspondants de presse de Côte d’Ivoire (Unajcop-Ci), en tant que membre de la section de Bouaké, par ailleurs correspondant de Soir-info, a félicité le ministre Amadou Koné pour avoir conduit à la victoire la liste « Union pour le rassemblement », lors des élections des secrétaires départementaux tenues la veille.
Avant de porter à la connaissance du ministre certaines doléances qui tiennent à cœur à la section de Bouaké. Il a déploré le fait qu’à Bouaké, deuxième grande ville de la Côte d’Ivoire, après Abidjan, l’Union n’ait pas de siège. « C’est une situation inconfortable qui ne nous valorise pas », a-t-il dénoncé. « C’est pourquoi nous plaidons auprès de vous pour l’obtention d’un local qui nous servira de Maison de la presse avec l’équipement qui va avec », a-t-il sollicité.
Alors que certains doyens sont à 2 ou 3 ans de la retraite, le porte-parole des journalistes a sollicité auprès du ministre des Transports une attention toute particulière afin que ceux-ci partent dignement. « Monsieur le ministre, nous vous apprenons que la plupart de ces correspondants de presse vivent dans la misère. Puisque n’ayant pas de salaire », a-t-il déploré.
Très sensible à toutes ces préoccupations soulevées, le ministre Amadou Koné a dit : « En tant qu’homme politique, je me suis dit qu’il ne fallait pas m’ingérer dans les activités pour ne pas enfreindre à leur liberté de pouvoir exercer leur métier en toute indépendance d’esprit et d’opinion », a-t-il souligné.
Toutefois, il reconnaît que les journalistes et lui demeurent des frères et des sœurs. « J’ai même interpellé mes collaborateurs sur le fait qu’ils ne m’ont jamais informé de ce qu’un journaliste avait des problèmes de santé ou bien de problèmes majeurs », a-t-il indiqué.
Prenant l’engagement d’étudier ces doléances soumises, en fonction des priorités et de ses possibilités à pouvoir les résoudre, le ministre a félicité les journalistes pour le travail qu’ils abattent avec peu de moyens. « Je voudrais vous féliciter à mon tour pour le travail que vous faites pour Bouaké et la région », a-t-il souligné.
Aussi a-t-il invité ses interlocuteurs à continuer le travail pour la promotion de Bouaké avec la Can qui approche. « C’est bientôt la Can. Il faudra qu’on se rencontre de nouveau pour voir ensemble ce qu’il y a lieu de faire pour mettre la ville de Bouaké en lumière pour que ceux qui voudront venir aient des raisons de le faire », a-t-il encouragé.
Pour conclure, Amadou Koné a invité les journalistes à faire en sorte pour que leur micro et leur plume contribuent à unir plutôt qu’à diviser les hommes politiques et les populations.
Prenant la parole au nom de ses confrères, Ladji Abou Sanogo, président de l’Union nationale des journalistes et correspondants de presse de Côte d’Ivoire (Unajcop-Ci), en tant que membre de la section de Bouaké, par ailleurs correspondant de Soir-info, a félicité le ministre Amadou Koné pour avoir conduit à la victoire la liste « Union pour le rassemblement », lors des élections des secrétaires départementaux tenues la veille.
Avant de porter à la connaissance du ministre certaines doléances qui tiennent à cœur à la section de Bouaké. Il a déploré le fait qu’à Bouaké, deuxième grande ville de la Côte d’Ivoire, après Abidjan, l’Union n’ait pas de siège. « C’est une situation inconfortable qui ne nous valorise pas », a-t-il dénoncé. « C’est pourquoi nous plaidons auprès de vous pour l’obtention d’un local qui nous servira de Maison de la presse avec l’équipement qui va avec », a-t-il sollicité.
Alors que certains doyens sont à 2 ou 3 ans de la retraite, le porte-parole des journalistes a sollicité auprès du ministre des Transports une attention toute particulière afin que ceux-ci partent dignement. « Monsieur le ministre, nous vous apprenons que la plupart de ces correspondants de presse vivent dans la misère. Puisque n’ayant pas de salaire », a-t-il déploré.
Très sensible à toutes ces préoccupations soulevées, le ministre Amadou Koné a dit : « En tant qu’homme politique, je me suis dit qu’il ne fallait pas m’ingérer dans les activités pour ne pas enfreindre à leur liberté de pouvoir exercer leur métier en toute indépendance d’esprit et d’opinion », a-t-il souligné.
Toutefois, il reconnaît que les journalistes et lui demeurent des frères et des sœurs. « J’ai même interpellé mes collaborateurs sur le fait qu’ils ne m’ont jamais informé de ce qu’un journaliste avait des problèmes de santé ou bien de problèmes majeurs », a-t-il indiqué.
Prenant l’engagement d’étudier ces doléances soumises, en fonction des priorités et de ses possibilités à pouvoir les résoudre, le ministre a félicité les journalistes pour le travail qu’ils abattent avec peu de moyens. « Je voudrais vous féliciter à mon tour pour le travail que vous faites pour Bouaké et la région », a-t-il souligné.
Aussi a-t-il invité ses interlocuteurs à continuer le travail pour la promotion de Bouaké avec la Can qui approche. « C’est bientôt la Can. Il faudra qu’on se rencontre de nouveau pour voir ensemble ce qu’il y a lieu de faire pour mettre la ville de Bouaké en lumière pour que ceux qui voudront venir aient des raisons de le faire », a-t-il encouragé.
Pour conclure, Amadou Koné a invité les journalistes à faire en sorte pour que leur micro et leur plume contribuent à unir plutôt qu’à diviser les hommes politiques et les populations.
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