Le directeur Afrique de l’Ouest de la fondation Friedrich Naumann pour la liberté, Dr Jo Holden, appelle à formation plus accrue des défenseurs des droits de l’Homme pour l’avènement d’une société de libertés en Côte d’Ivoire.
« Sans respect des droits de l’Homme, il n’y a pas de démocratie, ni de paix, il est donc urgent et important d’accentuer la formation des défenseurs des droits de l’Homme », a notamment estimé Dr Holden.
Il s’exprimait autour du thème « Défenseurs des droits de l’homme et justice internationale », à l’ouverture de la cinquième session internationale de formation des droits de l’homme, le 25 octobre au siège du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH).
Le directeur de la fondation René Cassin, prof Sébastien Touzé, a pour sa part défendu l’universalité des droits humains.
« L’humanité est une. Diverse mais une. Il n’y a pas de droits de l’Homme pour l’Europe, et d’autres droits de l’Homme pour l’Afrique, l’Asie, ou pour le monde musulman. Aucun peuple sur terre n’est fait pour l’esclavage, pour la tyrannie, ni pour l’asservissement des femmes », a-t-il-précisé.
Professeur Touzé a aussi souligné que cette cinquième session de formation sera l’occasion d’offrir aux institutions la possibilité de venir présenter et défendre leur action quotidienne pour promouvoir, défendre et faire respecter les droits de l’homme.
La cinquième session internationale de formation des droits de l’Homme se tient du 25 au 30 octobre 2021, avec 64 participants issus de différents corps de métier et de pays de la sous-région.
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