Le drame s’est produit, le dimanche, au petit matin, à l’Avenue 3, rue 16, non loin du Palais de la Culture.
Consternation, tristesse et pleurs dans des familles de la commune de Treichville dans le District d’Abidjan, hier dimanche 27 février. Pour cause, ces familles ont été endeuillées à la suite de l’effondrement d’un immeuble R+7 en construction dans la cité, non loin du Palais de la Culture. Le bilan provisoire livré par les agents des sapeurs-pompiers militaires, rencontrés sur place, fait état de 5 morts et 22 blessés dont certains dans un état grave. Ce bilan est rapidement alourdi à 7 morts, selon une source proche de la Gendarmerie nationale, sous le sceau de l’anonymat. Deux blessés qui étaient dans un état grave ont rendu l’âme par la suite, a-t-il précisé.
« Les premières informations recueillies révèlent que ce bâtiment appartient à un individu répondant aux initiales K. S. résidant à Bouaké. Il s’est effondré depuis 1heure du matin. Au rez -de- chaussée, se trouvaient des ouvriers dont certains étaient endormis. En s’écroulant, cet immeuble a touché deux autres habitations contiguës », explique notre source.
Un autre immeuble mitoyen présente un risque
Après la prise en charge des blessés et l’évacuation des autres domiciles contigus par la police, les pompiers ont procédé à un enlèvement généralisé des décombres. Cette étape a été précédée de la vérification pour s’assurer qu’aucun proche des familles impliquées et des ouvriers travaillant sur ce chantier ne manquent à l’appel. « Selon les renseignements verbaux obtenus, il n’y a plus personne supposé enseveli sous les gravats », assure le commandant des opérations des sapeurs-pompiers, Dago Tekry. Il indique tout de même que les bilans sont provisoires vu que les opérations se poursuivent toujours. Il ajoute d’ailleurs que « l’opération sera de très longue durée ».
« Les premières informations recueillies révèlent que ce bâtiment appartient à un individu répondant aux initiales K. S. résidant à Bouaké. Il s’est effondré depuis 1heure du matin. Au rez -de- chaussée, se trouvaient des ouvriers dont certains étaient endormis. En s’écroulant, cet immeuble a touché deux autres habitations contiguës », explique notre source.
Un autre immeuble mitoyen présente un risque
Après la prise en charge des blessés et l’évacuation des autres domiciles contigus par la police, les pompiers ont procédé à un enlèvement généralisé des décombres. Cette étape a été précédée de la vérification pour s’assurer qu’aucun proche des familles impliquées et des ouvriers travaillant sur ce chantier ne manquent à l’appel. « Selon les renseignements verbaux obtenus, il n’y a plus personne supposé enseveli sous les gravats », assure le commandant des opérations des sapeurs-pompiers, Dago Tekry. Il indique tout de même que les bilans sont provisoires vu que les opérations se poursuivent toujours. Il ajoute d’ailleurs que « l’opération sera de très longue durée ».
Pour mener à bien l’enlèvement des gravats et des dernières fouilles, la zone a été isolée par les agents de la Compagnie ivoirienne d’électricité (Cie) pour éviter l’électrocution par les câbles électriques qui trainent après un effondrement. Il conseille par ailleurs que des expertises soient faites sur l’immeuble R+4, visiblement un vieux bâtiment, pour s’assurer qu’il est encore solide et que les habitants peuvent y revenir. Car dit-il, ce R+4 présente désormais un risque non seulement pour les occupants mais aussi pour toute la population environnante.
Pour assurer la sécurité sur le lieu du sinistre, des dizaines d’agents des forces de l’ordre y ont été déployés, vu l’importance du drame. Il s’agit d’éléments du Groupement mobile d’intervention, d’autres de la Compagnie républicaine de sécurité (Crs), du Centre de coordination des opérations décisionnelles (Ccdo), de la gendarmerie nationale, la police municipale, sans oublier les sapeurs pompiers qui, eux, ont dégagé des moyens matériels et logistiques conséquents : huit engins, une équipe cynotechnique et 40 hommes.
Des membres du gouvernement sur le lieu
Le maire de Treichville, François Amichia, la députée de la commune Ami Toungara, la ministre-gouverneure Raymonde Goudou et la ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté Myss Belmonde Dogo se sont rendus sur les lieux pour présenter leurs condoléances et exprimer leur compassion aux familles endeuillées. Ils ont été suivis par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé, qui annonce des enquêtes pour établir les responsabilités. Pour lui, ce genre de drames ne seront être tolérés.
« On ne se rend compte de la qualité de ces habitations que lorsque ce genres de drames interviennent. Je voudrais, en tant que ministre de l’Intérieur et de la Sécurité en charge des questions de protection civile, encore une fois lancer un appel à la suite de mes collègues du gouvernement qui sont déjà passés ce matin ( ndlr: hier matin) pour dire aux opérateurs de non seulement respecter les normes mais de prendre les avis techniques du ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme pour les accompagner dans leurs travaux de construction », affirme-t-il .
Pour assurer la sécurité sur le lieu du sinistre, des dizaines d’agents des forces de l’ordre y ont été déployés, vu l’importance du drame. Il s’agit d’éléments du Groupement mobile d’intervention, d’autres de la Compagnie républicaine de sécurité (Crs), du Centre de coordination des opérations décisionnelles (Ccdo), de la gendarmerie nationale, la police municipale, sans oublier les sapeurs pompiers qui, eux, ont dégagé des moyens matériels et logistiques conséquents : huit engins, une équipe cynotechnique et 40 hommes.
Des membres du gouvernement sur le lieu
Le maire de Treichville, François Amichia, la députée de la commune Ami Toungara, la ministre-gouverneure Raymonde Goudou et la ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté Myss Belmonde Dogo se sont rendus sur les lieux pour présenter leurs condoléances et exprimer leur compassion aux familles endeuillées. Ils ont été suivis par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé, qui annonce des enquêtes pour établir les responsabilités. Pour lui, ce genre de drames ne seront être tolérés.
« On ne se rend compte de la qualité de ces habitations que lorsque ce genres de drames interviennent. Je voudrais, en tant que ministre de l’Intérieur et de la Sécurité en charge des questions de protection civile, encore une fois lancer un appel à la suite de mes collègues du gouvernement qui sont déjà passés ce matin ( ndlr: hier matin) pour dire aux opérateurs de non seulement respecter les normes mais de prendre les avis techniques du ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme pour les accompagner dans leurs travaux de construction », affirme-t-il .
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