Koffi Olomidé peut pousser un ouf de soulagement dans le procès qui l’oppose à ces ex-danseuses.
Ce lundi 13 décembre, les juges français l’ont relaxé en appel sur les chefs d’accusation d’agressions sexuelles portant sur quatre de ses ex-danseuses. Le chanteur congolais échappe là à la plus grave des accusations qui avait été portée contre sa personne. Ses danseuses l’ont traduit en justice pour des faits d’agressions sexuelles et séquestration.
Koffi Olomidé bénéficie de la relaxe sur les agressions sexuelles « au bénéfice du doute ». En effet, comme l’explique la présidente de la 7e chambre correctionnelle de la cour d’appel de Versailles, elle s’est retrouvée souvent devant des « déclarations évolutives, parfois contradictoires » des plaignantes. Un brèche qu’ont savamment exploité les avocats de Koffi Olomidé.
Koffi Olomidé a cependant été condamné à 18 mois d’emprisonnement avec sursis probatoire de trois ans pour avoir séquestré ses danseuses en question lors de ses tournées en France. Sur ce chef d’accusation, la juge estime que la séquestration « ne fait aucun doute », avec des plaignantes « privées de toute liberté et surveillées de manière constante entre 2002 et 2006 dans un pavillon de banlieue parisienne ». Koffi Olomidé n’ira donc pas en pprison dans cette affaire.
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