Un vol cargo, faisant Abidjan-Monrovia, a fait un "atterrissage d'urgence" à l'aéroport d'Abidjan après que le train d'atterrissage a pris feu, a rapporté dimanche à APA une source aéroportuaire, indiquant qu'"aucun dommage" n'a été enregistré.
"Il s'agit du vol SIV 107, un avion de type ATR72 qui faisait Abidjan-Monrovia", a précisé cette source qui a requis l'anonymat, soulignant que "la compagnie fait du vol cargo pour le compte de DHL", une entité spécialisée dans le transport de colis.
C’est un appareil de la compagnie Solenta aviation récemment "rachetée" par un Ivoirien, a-t-il confié. L'incident intervient une semaine quasiment après qu'un avion de la compagnie Air Côte d'Ivoire, en provenance de Korhogo, dans le Nord ivoirien, a raté son atterrissage.
Le train d'atterrissage avant du vol d'Air Côte d'Ivoire, transportant 17 passagers et 5 membres d'équipage, n'était pas sorti, mais l'avion avait pu atterrir sans problème majeur. La piste d'atterrissage a été ouverte dimanche dernier à 00h15 (GMT, heure locale), 5h après l'incident.
La compagnie aérienne Solenta aviation a les droits de DHL pour opérer en Côte d'Ivoire et dans plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine. L'incident est survenu à la suite de surchauffes des trains d'atterrissage où les pompiers ont vu la fumée.
1 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2022 (15:59 PM) La source de cette information est une source peu fiable, et le malheur dans tout cela est qu'il s'agit d'une source aéroportuaire censée être professionnelle et crédible, loin des mensonges et du populisme des réseaux sociaux.Premièrement, l'aéroport d'Abidjan est l'un des meilleurs aéroports du continent africain en termes de sûreté et de sécurité, et de tels accidents se produisent dans les plus grands aéroports du monde.
Deuxièmement, l'avion Solenta n'a pas été acquis récemment, mais opère en Côte d'Ivoire pour DHL depuis plus de cinq ans.
Troisièmement, l'accident n'est pas lié au train d'atterrissage. Le retour de l'avion à l'aéroport d'Abidjan après le décollage est dû à une fausse alarme incendie moteur gauche. La réponse des pilotes a été très professionnelle car ils ont suivi les procédures d'urgence de l'avion et de l'aéroport et ont pu atterrir en toute sécurité.
Quatrièmement, mon conseil, ne croyez pas ce que disent les médias sociaux, cette source de l'aéroport a lié la fumée des pneus de l'avion à l'atterrissage, directement à l'incident et ils ont mis en scène leur histoire.
Désormais, lorsque l’avion atterrit il crée également une friction.
Exactement avant que le pneu ne touche le sol, il est statique.Dès qu'il touche, il faut un tout petit peu de temps pour gagner la vitesse relative avec l'avion sur la piste. Ça traîne dessus. C'est là que la fumée apparaît.Après cela, elle prend de la vitesse et la vitesse est progressivement décomposée par les freins de vitesse et elle s'arrête finalement.
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