En effet, les victimes étaient assujetties à ce précieux document médical pour prouver qu’elles avaient été victimes de viol.
Il constituait, il faut le dire tout net, un obstacle pour ces nombreuses victimes ne pouvant pas débourser une telle somme pour prouver la violence dont elle avait été objet.
Pour s’en procurer, il faut débourser la somme de 50.000FCFA.
Cette aberration est en phase de disparaitre suite au plaidoyer, peut-on le dire tout net, de la Présidente du Conseil National des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDH-CI), madame Namizata Sangaré, qui en faisait mention lors de la remisse du rapport annuel 2020 du CNDH-CI, au ministre auprès du président de la République, chargé des Relations avec les Institutions, Gilbert Kafana Koné, qui représentait le chef de l’État Alassane Ouattara, à la Primature.
Cette restriction empêchait de nombreuses victimes à aller jusqu’au bout dans la plainte pour cas de violence basée sur le genre. Non sans faire remarquer la stigmatisation…etc…
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