Son implication dans le processus électoral gabonais, il y a de cela quelques jours, Yeo Shifowa, après l’arrestation de celui pour piratage des données électorales au Gabon. Selon des témoignages jean Marc Zoé, ne serait pas un employé de la présidence ivoirienne encore moins chargé de mission.
Aux dires, de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci), Jean Marc Zoé, serait membre de la jeunesse du parti du ministre des affaires étrangères, Albère Mabri Toikeuse. Mais avant tout, il est le bon petit d’Albert Flindé, conseiller spécial du Président de la République, en charge de la formation professionnelle. Féru de l’outil informatique, il a été recruté par Albert Flindé, qui était alors vice président de l’Udpci. Alors qu’il occupait le poste de premier secrétaire adjoint de l’Udpci, du Dr Albère Mabri Toikeuse, Albert Flindé, a fait de jean Marc Zoé « l’homme orchestre » du système électoral de l’Udpci. Quand Albert Flindé, est nommé ministre de l’enseignement technique dans le gouvernement de Laurent Gbagbo , il ne lâche pas jean Marc Zoé… Lorsqu’en 2010, il hérite du ministère des transports, en remplacement d’Albère Mabri Toikeuse, dans le gouvernement d’Alassane Ouattara, il atterrit dans son cabinet de l’immeuble Sciam avec jean Marc Zoé.
Albert Flindé et son petit génie de l’informatique débarquent à la présidence de la république en janvier 2014, lorsque celui-ci a été nommé Conseiller spécial du Chef de l’Etat, en charge de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Si l’on en croit Bogui Laurent Tchagba, secrétaire général de l’Udpci, « jean Marc Zoé n’a pas de statut de chargé de mission à la présidence de la République ».
source (Soir info)
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