"Je déplore la création du Conseil national de transition qui n'a aucun fondement légal et qui ravive les tensions et les risques d'affrontements", déclare M. Amon-Tanoh, qui souhaite néanmoins qu'en signe d'apaisement, les personnes incarcérées soient libérées par le pouvoir d'Abidjan.
Il a exhorté les parties en faction à préserver l'intérêt supérieur de la nation, tout en sachant entendre raison aux fins que ce qui a été construit en 60 ans d'indépendance, ne soit pas détruit, les invitant à recourir au dialogue.
"Asseyons-nous et parlons-nous en frères et soeurs, avec amour car un début de vraie réconciliation vaut mieux qu'un affrontement sanglant (pour) éviter de verser plus de sang sur la terre de nos ancêtres", a-t-il lancé.
Selon lui, "l'heure est grave", chacun devrait éprouver un "ultime sursaut pour sauver" la Côte d'Ivoire, le bien commun des Ivoiriens.
Pour sa part, il affirme s'engager à prendre des initiatives pour apporter sa "modeste contribution à un processus de dialogue et de réconciliation inclusif, sans préalable ni conditions, en vue d'aboutir à un compromis au seul bénéfice des Ivoiriens et de la paix".
Il estime que l'avenir du pays est aux mains de Dieu, mais aussi des Ivoiriens qui ont une responsabilité dans l'édification de la paix. En outre, une implication des acteurs politiques permettrait de ramener un climat de confiance.
L'opposition qui dénonce le processus électoral, a refusé de prendre part à l'élection présidentielle du 31 octobre 2020, soutenant que les conditions n'étaient pas réunies pour un scrutin crédible. Une crise pre-électorale qui s'est muée en une crise post-électorale.
L'on enregistre plusieurs morts survenus à l'issue de cette "élection non consensuelle" qui laisse les Ivoiriens dans l'incertitude, l'angoise et la crainte", a fait observer l'ancien chef de la diplomatie d'Alassane Ouattara.
M. Amon-Tanoh, un ex-collaborateur de M. Ouattara, a démissionné de son poste de ministre des Affaires étrangères pour se présenter à l'élection présidentielle du 31 octobre 2020. Son dossier a été rejeté. Seulement quatre candidats ont été retenus sur 44 dossiers de candidature.
Le Conseil constitutionnel a confirmé lundi la réélection du président sortant Alassane Ouattara avec 94,27% des suffrages et un taux de participation de 53,90%. L'opposition clame ne pas reconnaître cette élection.
Il a exhorté les parties en faction à préserver l'intérêt supérieur de la nation, tout en sachant entendre raison aux fins que ce qui a été construit en 60 ans d'indépendance, ne soit pas détruit, les invitant à recourir au dialogue.
"Asseyons-nous et parlons-nous en frères et soeurs, avec amour car un début de vraie réconciliation vaut mieux qu'un affrontement sanglant (pour) éviter de verser plus de sang sur la terre de nos ancêtres", a-t-il lancé.
Selon lui, "l'heure est grave", chacun devrait éprouver un "ultime sursaut pour sauver" la Côte d'Ivoire, le bien commun des Ivoiriens.
Pour sa part, il affirme s'engager à prendre des initiatives pour apporter sa "modeste contribution à un processus de dialogue et de réconciliation inclusif, sans préalable ni conditions, en vue d'aboutir à un compromis au seul bénéfice des Ivoiriens et de la paix".
Il estime que l'avenir du pays est aux mains de Dieu, mais aussi des Ivoiriens qui ont une responsabilité dans l'édification de la paix. En outre, une implication des acteurs politiques permettrait de ramener un climat de confiance.
L'opposition qui dénonce le processus électoral, a refusé de prendre part à l'élection présidentielle du 31 octobre 2020, soutenant que les conditions n'étaient pas réunies pour un scrutin crédible. Une crise pre-électorale qui s'est muée en une crise post-électorale.
L'on enregistre plusieurs morts survenus à l'issue de cette "élection non consensuelle" qui laisse les Ivoiriens dans l'incertitude, l'angoise et la crainte", a fait observer l'ancien chef de la diplomatie d'Alassane Ouattara.
M. Amon-Tanoh, un ex-collaborateur de M. Ouattara, a démissionné de son poste de ministre des Affaires étrangères pour se présenter à l'élection présidentielle du 31 octobre 2020. Son dossier a été rejeté. Seulement quatre candidats ont été retenus sur 44 dossiers de candidature.
Le Conseil constitutionnel a confirmé lundi la réélection du président sortant Alassane Ouattara avec 94,27% des suffrages et un taux de participation de 53,90%. L'opposition clame ne pas reconnaître cette élection.
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