Mais, ce n’était que des échanges de tirs entre policiers et un malfrats.
Plus de peur que de mal. Les coups de feu entendus dans la nuit du dimanche à lundi 28 septembre 2020 près de la RTI de Bouaké, à cette approche de la présidentielle marquée par des manifestations meurtrières, ne sont pas les prémices d’un coup d’Etat en Côte d’Ivoire.
Mais plutôt d’un échange de tirs entres les forces de l’ordre et un présumé malfrat.
De nos sources, on apprend que le malfrat s’était refugié dans un hôtel près de la RTI de Bouaké, après avoir commis un forfait.
Il en était-là, quand les forces de l’ordre l’ont démasqué. C’est ainsi qu’il a pris la fuite pour tenter de s’échapper aux forces de sécurité.
Malheur sur son chemin, il s’est retrouvé nez-à-nez avec les policiers dans sa fuite.
Pris en embuscade, il a fait usage de son pistolet à canon scié de fabrication artisanale en tirant plusieurs coups en direction des policiers qui ont répliqué avec succès pour le neutraliser.
1 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2020 (22:24 PM)Participer à la Discussion
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