« Le président de la République et son gouvernement pensent beaucoup à nous et à notre protection notamment à notre éducation, à notre santé, notre nutrition. Il a fait de la lutte contre ceux qui nous exploitent une priorité car nous sommes encore des enfants qui avons besoin de grandir et d’éviter des travaux qui ne nous conviennent pas », a dit la porte-parole du parlement des enfants, Kouakou Ange Marie-Grâce, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l’enfant.
Au nombre des actions, Mlle Kouakou a relevé la déclaration des naissances, la mise à disposition d’un numéro vert (116) pour dénoncer les violences faites aux enfants, la lutte contre la traite et le travail des enfants.
« Papa ADO, Pépé ADO, nous ne cesserons de vous solliciter pour tout besoin en matière de protection des enfants de Côte d’Ivoire, car nous ne voulons plus que des violences soient exercées sur nous et aussi parce que nous savons que vous êtes prêt pour nous. Merci Papa ADO, merci cher Pépé », a-t-elle ajouté.
Elle a aussi exprimé sa gratitude à la Première dame, Dominique Ouattara et au ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Bakayoko-Ly Ramata pour leur engagement qui a permis l’aboutissement de plaidoyer en leur faveur.
« Aujourd’hui, vous et votre équipe offrez aux enfants, un avenir prometteur, une Côte d’Ivoire où il fait bon vivre pour l’enfant », a déclaré Kouakou Ange.
Pour sa part, Pr Bakayoko a dit sa joie de recevoir ces enfants à son cabinet et leur a rassuré de soutien du gouvernement. « Le gouvernement est toujours là pour vous, pour votre protection. Toutes ces actions ont été menées pour dire à nos enfants que nous tenons à eux, que les aimons parce que c’est eux l’avenir », a-t-elle déclaré.
La Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays, a célébré vendredi 20 novembre la Journée internationale des droits de l’enfant autour du thème « Ensemble, réinventons une Côte d’Ivoire sans violences faites aux enfants ».
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