A cet, elle a convié ce jeudi 29 octobre 2020 des représentants de la presse nationale et internationale à petit déjeuner débat à l’Hôtel Sofitel Ivoire d’Abidjan.
Les échanges qui ont eu lieu ce jeudi entre plusieurs membres de l’international libéral venus de la Roumanie, de la Bulgarie, de la Belgique, du Mali, de Macédoine, du Maroc et de la Côte d’Ivoire et des patrons de presse et organisations de journalistes ivoiriens et étrangers accrédités en Côte d’ivoire ont permis à cette mission de haut niveau d’avoir, après les acteurs politiques, le regard des journalistes sur la situation qui prévaut en côte d’ivoire à l’approche de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain.
Pour Patrice Yao, président du groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) ou encore Jean Claude Coulibaly, président de l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), le climat est relativement apaisé même s’il se trouve encore des poches de violences nées de l’appel de l’opposition au boycott des élections et à la désobéissance civile.
« Ce sont des manifestations mineures qui ne devraient pas entacher le bon déroulement du scrutin du 31 octobre » a dit Patrice Yao.
Jean Claude Coulibaly et Baudelaire Mieu (reporter sans frontière) ont quant à eux dénoncé les menaces et toutes les autres formes d’intimidation des journalistes en cette période électorale.
« En Côte d’Ivoire le délit de presse est dépénalisé. Il faut le reconnaître, le président Ouattara accorde du respect à la presse. Les médias privés et publics bénéficient d’un soutien financier, à travers le fonds de soutien et de développement de la presse-FSDP et sont associés à plusieurs rencontres avec les autorités ivoiriennes » ont expliqué les journalistes à la mission de haut niveau.
« Les acteurs politiques Ivoiriens clés n’ont pas changé depuis 20 ans » a renchéri le journaliste Philippe Kouhon de Afrikipresse . Toutefois, a-t-il déploré, « le vrai problème de la Côte d’Ivoire n’est pas l’éducation des militants ou de la population, mais plutôt, l’égoïsme des leaders politiques qui prennent le peuple en otage lorsqu’une situation ne les arrange pas ».
Poursuivant il a dit :
« On est habitué à ces évènements à l’approche des élections présidentielles depuis 1995. Malheureusement cela crée la psychose qui rend lourde l’atmosphère tous les cinq ans dès qu’il s’agit des élections présidentielles. Vous pouvez rentrer chez vous, rassurés qu’il ne va rien se passer de si catastrophique le 31 octobre ».
Interrogés à leur tour sur ce qu’ils ont vu et entendu depuis leur arrivée, les membres de la mission de haut niveau ont tous reconnu qu’il règne un climat de paix et qu’il n’y a pas de raison de se plaindre au vu des progrès réalisés en 9 ans.
Les échanges qui ont eu lieu ce jeudi entre plusieurs membres de l’international libéral venus de la Roumanie, de la Bulgarie, de la Belgique, du Mali, de Macédoine, du Maroc et de la Côte d’Ivoire et des patrons de presse et organisations de journalistes ivoiriens et étrangers accrédités en Côte d’ivoire ont permis à cette mission de haut niveau d’avoir, après les acteurs politiques, le regard des journalistes sur la situation qui prévaut en côte d’ivoire à l’approche de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain.
Pour Patrice Yao, président du groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) ou encore Jean Claude Coulibaly, président de l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), le climat est relativement apaisé même s’il se trouve encore des poches de violences nées de l’appel de l’opposition au boycott des élections et à la désobéissance civile.
« Ce sont des manifestations mineures qui ne devraient pas entacher le bon déroulement du scrutin du 31 octobre » a dit Patrice Yao.
Jean Claude Coulibaly et Baudelaire Mieu (reporter sans frontière) ont quant à eux dénoncé les menaces et toutes les autres formes d’intimidation des journalistes en cette période électorale.
« En Côte d’Ivoire le délit de presse est dépénalisé. Il faut le reconnaître, le président Ouattara accorde du respect à la presse. Les médias privés et publics bénéficient d’un soutien financier, à travers le fonds de soutien et de développement de la presse-FSDP et sont associés à plusieurs rencontres avec les autorités ivoiriennes » ont expliqué les journalistes à la mission de haut niveau.
« Les acteurs politiques Ivoiriens clés n’ont pas changé depuis 20 ans » a renchéri le journaliste Philippe Kouhon de Afrikipresse . Toutefois, a-t-il déploré, « le vrai problème de la Côte d’Ivoire n’est pas l’éducation des militants ou de la population, mais plutôt, l’égoïsme des leaders politiques qui prennent le peuple en otage lorsqu’une situation ne les arrange pas ».
Poursuivant il a dit :
« On est habitué à ces évènements à l’approche des élections présidentielles depuis 1995. Malheureusement cela crée la psychose qui rend lourde l’atmosphère tous les cinq ans dès qu’il s’agit des élections présidentielles. Vous pouvez rentrer chez vous, rassurés qu’il ne va rien se passer de si catastrophique le 31 octobre ».
Interrogés à leur tour sur ce qu’ils ont vu et entendu depuis leur arrivée, les membres de la mission de haut niveau ont tous reconnu qu’il règne un climat de paix et qu’il n’y a pas de raison de se plaindre au vu des progrès réalisés en 9 ans.
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