« Il est impérieux de se doter d’une autre constitution... », a plaidé l’ex-première dame Simone Ehivet Gbagbo. Elle l’a signifié lors d’un point-presse le mercredi 19 janvier 2022, à Abidjan-Riviera.
C’était à une rencontre qui regroupé des organisations politiques et des organisations de la société civile qui a porté sur le dialogue politique engagé par le gouvernement depuis le mois de décembre 2021.
Dans le cadre du dialogue politique, la présidente d’honneur du Mouvement des générations capables a évoqué une série de propositions. Et les organisations qui ont pris part à cette rencontre ont proposé quatre (04) points qui devront faire l’objet de discussion et d’accord avec le gouvernement.
Dans le cadre du dialogue politique, la présidente d’honneur du Mouvement des générations capables a évoqué une série de propositions. Et les organisations qui ont pris part à cette rencontre ont proposé quatre (04) points qui devront faire l’objet de discussion et d’accord avec le gouvernement.
Il s’agit de l’environnement sécuritaire, de la rédaction et l’adoption d’une nouvelle constitution, du système électoral et le jeu démocratique et défi de la réconciliation nationale. Les mouvements rassemblés autour de Mme Gbagbo estiment que « la constitution de 2016 est la source de la crise « du troisième mandat d’Alassane Ouattara » consécutive à l’élection présidentielle de 2020. »
L’ex-première dame a fait remarquer que l’interprétation de cette constitution a créé de graves controverses au sein de la communauté des juristes et dans la société ivoirienne. « Il est impérieux de se doter d’une autre constitution dont la rédaction bénéficierait de l’expertise et de la sagesse d’une bonne équipe composée de juristes, de politiques, de religieux, d’organisations de la société civile, d’intellectuels, d’hommes d’affaires de chefs coutumiers représentants les quatre (04) grands groupes ethnolinguistiques du pays (Akan, Gour, Mandé et Krou).
Pour réussir cela, elle a proposé que le gouvernement prenne les dispositions afin que la nouvelle loi fondamentale soit votée par voie référendaire. « Ainsi, cette constitution consensuelle rassemblera les peuples de la Côte d’Ivoire et sera le gage d’un nouveau contrat social », estime Mme Simone Ehivet Gbagbo.
A noter que des organisations politiques et des organisations de la société civile ont pris par à cette rencontre.
L’ex-première dame a fait remarquer que l’interprétation de cette constitution a créé de graves controverses au sein de la communauté des juristes et dans la société ivoirienne. « Il est impérieux de se doter d’une autre constitution dont la rédaction bénéficierait de l’expertise et de la sagesse d’une bonne équipe composée de juristes, de politiques, de religieux, d’organisations de la société civile, d’intellectuels, d’hommes d’affaires de chefs coutumiers représentants les quatre (04) grands groupes ethnolinguistiques du pays (Akan, Gour, Mandé et Krou).
Pour réussir cela, elle a proposé que le gouvernement prenne les dispositions afin que la nouvelle loi fondamentale soit votée par voie référendaire. « Ainsi, cette constitution consensuelle rassemblera les peuples de la Côte d’Ivoire et sera le gage d’un nouveau contrat social », estime Mme Simone Ehivet Gbagbo.
A noter que des organisations politiques et des organisations de la société civile ont pris par à cette rencontre.
Il s’agit du Mouvement des générations capables (M.G.C.), le Parti Ivoirien des Travailleurs (P.I.T.), l’Alliance Ivoirienne pour la République et la Démocratie (A.I.R.D.), l’Union des SocioDémocrates (U.S.D.), le Parti Communiste Révolutionnaire de Côte d’Ivoire (P.C.R.C.I.), le Parti Ivoirien du Peuple (P.I.P.), Pour la Côte d’Ivoire (P.C.I.) et Alternative Citoyenne Ivoirienne (A.C.I.).
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