Bonjour chers tous et bienvenue à notre revue de presse du mardi 10 octobre 2017. Le procès Gbagbo et l’affaire Soul To Soul font l’actualité ».
L’affaire de cache d’armes découverte à Bouaké, lors de la mutinerie en mai dernier connaît un rebondissement, avec l’arrestation du principal suspect. « Affaire « découverte d'armes à Bouaké » Explosif Soul To Soul arrêté hier, et conduit en prison », titre Soir Info. Le journal informe que « Depuis l’Europe, Soro lance un appel aux ivoiriens », quand au son camp accuse que « d’autres caches armes sont localisées chez certains très proches du chef de l’Etat. Le journal estime qu’Il « s’agit d’une guerre entre le clan Soro et le clan Ouattara ». Son confrère L’inter également barre à la Une : « Soul to Soul écroué à la maca, hier, le film d’une journée d’audition ». Lui aussi informe que « Soro s’envole pour la Russie et lance un appel ». Le journal rapporte que le procureur a affirmé que « c’était un complot contre l’autorité de l’Etat. Du côté de Soro, le journal fait savoir que le député Alain Lobognon a fait une « réaction musclée ». Sur cette affaire de cache d’armes à Bouaké et de l’arrestation de Soul To Soul, le Patriote relève que selon le procureur Adou Richard, « les armes étaient prêtes à l’emploi ».
Concernant Laurent Gbagbo, Le Quotidien d’Abidjan affirme que « après les révélations de Médiapart : Me Altit déjoue un autre complot contre Gbagbo ». L’avocat a même saisi la chambre d’appel, fait-il savoir. A la Une du Nouveau Courrier, on lit une nouvelle gaie pour Gbagbo : « Après les Graves révélations de Médiapart / Bernard Houdin : ‘‘voici les deux solutions qui s’offrent à la CPI pour Gbagbo ‘‘. De son côté, le fils de l’ex-président détenu fait une révélation sur la libération de son père, rapporte La Voie originale. « Meeting dans la fédération FPI de Facobly : MicheL Gbagbo indique la Période de la Libération de son père ». Ces journaux sont répondus par Le Jour Plus. « CPI: Mediapart ne peut pas sauver Gbagbo », écrit-il à la Une tout donnant la réponse de Saïd Penda répond au journal français.
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