Les militants du Pdci-Rda tiendront, aujourd’hui, leur 8e congrès extraordinaire, à Yamoussoukro, ville natale de Félix Houphouët-Boigny, fondateur de cette formation politique qui a vu le jour en 1946. La procédure judiciaire qui planait, comme une épée de Damoclès, sur ce parti a été levée par la justice, hier soir. «La voie est dégagée ! Blesson Christophe et Ourah Affroumou Mathieu ont décidé de retirer leur requête. Complètement, ils ont décidé de retirer la procédure.
Et le procureur leur en a donné acte. Cela veut dire qu’il n’y a plus de procédure contre le Pdci-Rda, l’action est éteinte complètement. Les militants peuvent prendre la route pour Yamoussoukro, car le congrès se tient demain...», s’est réjoui, hier, en fin d’après-midi, Me Blessy Jean-Chrysostome, avocat du Pdci-Rda.
L’homme de droit s’est ainsi exprimé à la suite d’une audience des référés d’heure à heure, hier.
Bien avant, la veille, un exploit de signification d’une ordonnance avait été envoyé au Pdci-Rda, par voie de commissaire de justice. L’exploit avait été réceptionné par le conseil de cette formation politique.
On se souvient que Blesson Christophe et Ourah Affroumou avaient saisi la justice, le 18 décembre et avaient obtenu la suspension du congrès du Pdci-Rda qui devait se tenir samedi dernier, au Palais des congrès du Sofitel Abidjan hôtel Ivoire. Ils reprochaient au parti d’Houphouët-Boigny des irrégularités dans l’organisation du congrès. Entre autres le non-respect d’une disposition règlementaire du Pdci-Rda (l’article 37 alinéa 2).
Le mardi 19 décembre, au terme d’une réunion d’urgence, le Bureau politique du Pdci-Rda avait pris la décision d’organiser le congrès qui doit aboutir à l’élection du successeur d’Henri Konan Bédié, rappelé à Dieu le 1er août dernier.
Mais, contre toute attente, Blesson Christophe et Ourah Affroumou Mathieu ont récidivé, en saisissant une fois de plus la justice qui, cette fois-ci, n’a pas accédé à leur requête.
«Lorsqu’on dit que le Pdci-Rda, fondateur de ce pays, est un parti de dialogue et de paix, nous avons pu nous en rendre compte, aujourd’hui.
La procédure est achevée, ce jour, par un désistement d’action», a affirmé l’avocat de la plus vieille des formations politiques de Côte d’Ivoire.
Il faut, par ailleurs, noter qu’au nombre de six au départ, ce sont finalement deux candidats qui briguent la présidence du Pdci-Rda, au cours du 8e congrès qui a lieu, aujourd’hui, à Yamoussoukro.
L’homme de droit s’est ainsi exprimé à la suite d’une audience des référés d’heure à heure, hier.
Bien avant, la veille, un exploit de signification d’une ordonnance avait été envoyé au Pdci-Rda, par voie de commissaire de justice. L’exploit avait été réceptionné par le conseil de cette formation politique.
On se souvient que Blesson Christophe et Ourah Affroumou avaient saisi la justice, le 18 décembre et avaient obtenu la suspension du congrès du Pdci-Rda qui devait se tenir samedi dernier, au Palais des congrès du Sofitel Abidjan hôtel Ivoire. Ils reprochaient au parti d’Houphouët-Boigny des irrégularités dans l’organisation du congrès. Entre autres le non-respect d’une disposition règlementaire du Pdci-Rda (l’article 37 alinéa 2).
Le mardi 19 décembre, au terme d’une réunion d’urgence, le Bureau politique du Pdci-Rda avait pris la décision d’organiser le congrès qui doit aboutir à l’élection du successeur d’Henri Konan Bédié, rappelé à Dieu le 1er août dernier.
Mais, contre toute attente, Blesson Christophe et Ourah Affroumou Mathieu ont récidivé, en saisissant une fois de plus la justice qui, cette fois-ci, n’a pas accédé à leur requête.
«Lorsqu’on dit que le Pdci-Rda, fondateur de ce pays, est un parti de dialogue et de paix, nous avons pu nous en rendre compte, aujourd’hui.
La procédure est achevée, ce jour, par un désistement d’action», a affirmé l’avocat de la plus vieille des formations politiques de Côte d’Ivoire.
Il faut, par ailleurs, noter qu’au nombre de six au départ, ce sont finalement deux candidats qui briguent la présidence du Pdci-Rda, au cours du 8e congrès qui a lieu, aujourd’hui, à Yamoussoukro.
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