Vaillantes amazones de l’UFPDCI Urbaine,
Chères sœurs militantes,
« Ne touche pas à mon Bédié » plus qu’un slogan est un cri du cœur
Chères sœurs,
L’heure est grave. Nos droits garantis par la loi fondamentale sont bafoués, piétinés, foulés au pied. Nous sommes bâillonnées, séquestrées, muselées et violentées. Nos responsables politiques, nos frères et sœurs croupissent dans les geôles du RHDP. Pire, le président Henri Konan Bédié, notre président, notre papa, l’homme épris de paix, l’homme des sacrifices, l’homme des concessions, du don de soi qui n’a qu’un seul objectif, redonner à la Côte d’Ivoire une paix véritable, durable où les droits du peuple et du citoyen seront respectés. Tout simplement redonner aux Ivoiriens le bien-être et le bonheur pour chacun, est assigné à résidence surveillée de façon illégale et inique avec un blocus dressé devant sa résidence.
Chères sœurs, face à autant de mépris, allons-nous rester les bras croisés ? Non! Nous devrons nous lever pour former un bouclier autour de notre président.
Je vous exhorte, chères amazones, à nous lever pour exiger la levée du blocus devant la résidence du président Bédié, la libération immédiate de toutes nos sœurs et tous nos frères illégalement détenus par le pouvoir dictatorial RHDP.
Demeurons mobilisées déterminées et attentives aux mots d’ordre de notre parti. Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.
Sita Coulibaly
Présidente nationale
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