Candidat indépendant aux élections municipales dans la commune de Yopougon, Bakary Koné dit Bakus peut compter sur sa dynamique équipe pour briguer la magistrature suprême au soir du 13 octobre.
Avec une stratégie basée sur la proximité, le candidat va à la rencontre des populations même les plus reculées et souvent oubliées de cette grande commune pour leur dévoiler son programme qui se veut un gage de changement non sans promettre une répartition équitable des ressources de la commune.
De Gesco en passant par le Koweït, l’Île Bouley, la Sicogi, Wassakara et bien d’autres quartiers de la commune de Yopougon, le candidat Bakary Koné et son équipe sillonnent jours et nuits ces zones pour déballer leur programme qui se décline en une dizaine d’axes prioritaires. À chacun de leurs passages dans ces quartiers, le message du candidat est pratiquement le même, opérer un véritable changement à tous les niveaux dans la commune.
Bakary Koné qui mise sur une politique de proximité avec son opération baptisée « opération fourmis », dit être « le profil idéal pour tous ces jeunes et femmes de la commune qui ont perdu espoir du fait des précédents engagements des autorités jamais réalisés ». D’où son slogan « le changement, c’est maintenant ». Pour rompre définitivement avec des pratiques, dira-t-il, qui n’ont jamais été dans l’intérêt des populations.
« Il va falloir que les choses changent à Yopougon. Et que l’argent de la municipalité soit répartie de façon équitable aux populations », évoque-t-il non sans confier à la jeunesse de Yopougon qu’« un appui systématique pour la création de petites et moyennes entreprises » sera mis à sa disposition pour entreprendre. Aux femmes, promet-il des investissements considérables dans des secteurs d’activités clés.
Soutenu par une dynamique équipe constituée de jeunes, de femmes, d’entrepreneurs et cadres de sociétés, Bakary Koné promet une nouvelle vision pour la commune de Yopougon. Celle qui est qu’avec ses réseaux et les collectes de la municipalité, le développement est possible à Yopougon.
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