C'est avec une grande consternation qu'on apprend cette mauvaise nouvelle qui constitue pour le pays une très grande perte.
Lorsqu'on sait la fonction qu'occupait l'illustre disparu dans l'appareil d'État, alors que nous venons de perdre un premier Premier ministre il n'y a pas longtemps, c'est comme si le sort s'acharnait sur le pays.
Lorsqu'on sait aussi le réseau de relations d'Hamed Bakayoko, dans tous les milieux, tous les efforts qu'il fournit ces derniers mois pour le rapprochement, la décrispation de la vie politique nationale et la paix en Côte d'Ivoire.
Il a conduit le dialogue politique pour essayer de trouver des compromis avec les partis de l'opposition sur les questions délicates. C'est un précieux intermédiaire entre le régime et les autres couches socio-politiques qui disparaît. Je pense que c'est une perte qui arrive à un mauvais moment pour notre pays.
Personnellement je le connais, puisque je suis d'une certaine façon lié au plan familial, parce que puisqu'il était marié à l'une de nos nièces. C'est aussi une douloureuse perte pour la famille.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article