«Pour le moment, il y a quatre morts retrouvés dans une cour de Dabou», a fait savoir, hier, Rémi N'Zi Kanga. Avant d’ajouter que «trois autres morts» avaient été enregistrés le mardi 20 octobre. Il a souligné, en outre, qu'il y a également «une quarantaine de blessés».
Face à la situation à Dabou, l’autorité administrative avait appelé, mardi, les populations au calme. «Depuis lundi, la violence s’est installée dans notre ville. Les actions de désobéissance civile sont en train de s’orienter vers des terrains sensibles pour se muer en conflit inter communautaire», a-t-il prévenu, cité par le confrère Aip. «Cette situation n’honore pas le département qui est réputé pour son hospitalité légendaire», a-t-il précisé.
Par ailleurs, selon un arrêté qu’il a signé hier, un couvre-feu a été instauré dans le département, de 19h à 06h. Cette décision qui a pris effet hier court jusqu’au 25 octobre.
A Dabou, selon les constats sur place, des barrages ont été érigés par des manifestants qui protestent, obéissant au mot d’ordre de désobéissance civile lancé par les partis de l'opposition. Selon le confrère Aip, les différents corridors de la capitale du Leboutou ont été obstrués avec des tracteurs, des camions et autres tables.
Par ailleurs, selon un arrêté qu’il a signé hier, un couvre-feu a été instauré dans le département, de 19h à 06h. Cette décision qui a pris effet hier court jusqu’au 25 octobre.
A Dabou, selon les constats sur place, des barrages ont été érigés par des manifestants qui protestent, obéissant au mot d’ordre de désobéissance civile lancé par les partis de l'opposition. Selon le confrère Aip, les différents corridors de la capitale du Leboutou ont été obstrués avec des tracteurs, des camions et autres tables.
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