
Le Collectif des victimes de Côte d’Ivoire (Cvci) ne veut pas entendre parler de liberté provisoire pour l’ex-président Laurent Gbagbo qui comparaît actuellement devant la Cour internationale de justice (Cpi) à la Haye, au Pays-Bas, pour des faits présumés de crime de guerre et de crime contre l’humanité commis pendant la crise postélectorale en 2010. Les victimes l’ont vivement exprimé, le 26 août dernier, à la mairie d’Abobo. En juillet dernier, la liberté provisoire introduite par la défense de l’ancien chef d’Etat avait été rejetée en première instance par cette cour.
4 Commentaires
Bolodjougouba
En Août, 2017 (08:39 AM) Les soit disant victimes ne veulent pas que GBAGBO soit libéré alors que ALASSANE et SORO sont libre.Comment comprendre, qu'une crise qui à fait des victimes dans les deux camps, et coup de poker les victimes ont de l'affection pour un camps et de la haine pour un autre. cela sent de la machination. Un parti pris ourdi.
S'ils ont été victime c'est qu'il y à eu crise, qui était donc en 2002 le premier à déclencher la guerre? Les attaques dont ils sont victimes aujourd'hui?
CES VICTIMES SONT DES VICTIMES BORGNES ,enfin peut être qu'ils ont étés atteint à l’œil
Anonyme
En Octobre, 2017 (07:05 AM)Participer à la Discussion
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