Bouaké, capitale de la paix, malgré les bruits souvent des armes reste une ville de joie. Le quartier commerce avec ses nombreux maquis et différents mets laisse au passant un souvenir inoubliable. Comme élément stimulateur, une bonne nuit avec une fille de joie communément appelée « prostituées ». Ces filles on les retrouve devant le carrefour ancien CIE, au fromager à Nimbo, Mamianou, Bouaké Gasoil etc.
« Vraiment ça ne marche plus. Les élèves et étudiantes ont pris le terrain. Elles sont moins chères. Les quelques clients qui nous disent que avec les élèves et étudiantes il suffit de les inviter une fois à manger, c'est fini. Chaque vendredi et samedi tu es avec elles et avec tu peux faire plusieurs fois. Quand les gens viennent, ils nous demandent de diminuer alors que ce n’est pas cher. C'est 1000f le passage. Le déplacement dépend, ça va de 5.000 à 100.000f », nous a confié une fille de joie sous le couvert de l'anonymat.
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