Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a assumé, lundi, au nom du gouvernement ivoirien, la part de responsabilité des africains dans la déportation et l’esclavage et demandé pardon à leurs descendants, particulièrement ceux de Guyanne dont des membres sont en visite en Côte d’Ivoire.
« Nous avons fait le choix de l’axe de la repentance et de la reconnaissance de notre responsabilité pour nous réconcilier avec cette part de nous-mêmes », a déclaré Maurice Bandaman lors d’une cérémonie de réception, par le roi du Sanwi, nanan Amon N’DofouV, d’une délégation de 25 guyanais du peuple Boni, en visite en Côte d’Ivoire.
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