La directrice générale de l’Agence nationale de gestion des déchets (Anaged), Sarrahn Ténin Ouattara, veut transformer les collectivités territoriales en modèle de propreté et de gestion responsable du cadre de vie des populations.
Ainsi, afin de faire le suivi de cette collaboration, un comité technique a été mis en place. Il aura pour mission d’accompagner l’Anaged dans l’exécution de ses missions auprès des collectivités territoriales en matière de gestion des déchets solides.
Il sera composé des experts de l’Anaged et de la Dgddl et va participer au renforcement des capacités techniques et matérielles des acteurs locaux en matière de lutte contre l’insalubrité. Aussi, il poussera les structures décentralisées à s’impliquer davantage dans la sensibilisation et l’éducation de leurs populations sur les enjeux de la salubrité.
Pour la responsable de l’Anaged, cette convention est la preuve de l’engagement de sa structure à partager ses connaissances et à travailler en synergie pour le bien-être des populations. Cela symbolise la volonté de mutualiser les efforts et de mettre en œuvre des actions concrètes pour relever le défi majeur de la gestion des déchets solides.
Pour sa part, le directeur général de la Dgddl a salué les actions concrètes mises en œuvre par son partenaire pour la gestion des déchets solides dans les collectivités. Ajoutant que ce partenariat va impulser une nouvelle dynamique dans la gestion des ordures ménagères.
Cela va également améliorer le cadre de vie des populations. Il a décliné la vision de sa direction qui est la promotion du développement local. Il a affirmé sa disponibilité à accompagner l’Anaged dans ses missions, aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays où les besoins sont immenses.
« Nous devons lutter contre l’incivisme et l’insalubrité. Je pense très sincèrement qu’avec ce cadre et les actions que nous avons déjà définis, nous parviendrons à donner un nouveau visage à nos localités », a-t-il rassuré.
L’Anaged a pour mission principale de parvenir à l’instauration d’une économie circulaire à travers une gestion optimale des déchets solides.
À cet effet, sa structure et la Direction générale de la décentralisation et du développement local (Dgddl) dirigée par Fidèl Yapi ont signé une convention, le 9 juillet, à Abidjan-Cocody.
Ainsi, afin de faire le suivi de cette collaboration, un comité technique a été mis en place. Il aura pour mission d’accompagner l’Anaged dans l’exécution de ses missions auprès des collectivités territoriales en matière de gestion des déchets solides.
Il sera composé des experts de l’Anaged et de la Dgddl et va participer au renforcement des capacités techniques et matérielles des acteurs locaux en matière de lutte contre l’insalubrité. Aussi, il poussera les structures décentralisées à s’impliquer davantage dans la sensibilisation et l’éducation de leurs populations sur les enjeux de la salubrité.
Pour la responsable de l’Anaged, cette convention est la preuve de l’engagement de sa structure à partager ses connaissances et à travailler en synergie pour le bien-être des populations. Cela symbolise la volonté de mutualiser les efforts et de mettre en œuvre des actions concrètes pour relever le défi majeur de la gestion des déchets solides.
Pour sa part, le directeur général de la Dgddl a salué les actions concrètes mises en œuvre par son partenaire pour la gestion des déchets solides dans les collectivités. Ajoutant que ce partenariat va impulser une nouvelle dynamique dans la gestion des ordures ménagères.
Cela va également améliorer le cadre de vie des populations. Il a décliné la vision de sa direction qui est la promotion du développement local. Il a affirmé sa disponibilité à accompagner l’Anaged dans ses missions, aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays où les besoins sont immenses.
« Nous devons lutter contre l’incivisme et l’insalubrité. Je pense très sincèrement qu’avec ce cadre et les actions que nous avons déjà définis, nous parviendrons à donner un nouveau visage à nos localités », a-t-il rassuré.
L’Anaged a pour mission principale de parvenir à l’instauration d’une économie circulaire à travers une gestion optimale des déchets solides.
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